Amour impénétrable inexpliqué
Il est comme
un printemps,
Il vient aux
silences des cœurs,
Trouble-fête
d’une quiétude,
Je te déteste
autant que désirer,
Un souffle aujourd’hui
sa domination.
Comment ne
pas aimer cet amour ?
Rejeté, ce
souffle, me condamnerait à la mort,
Chaque jour,
son amour m’appelant à une altruiste,
Empreinte de
désirs toujours inexpliqués d’une foi,
L’amour ne
finira jamais son œuvre comme il est né.
Je l’ai
trahi bien des fois à des faux printemps,
Illusions éphémères
un instant sans lui prodiguer les soins,
J’étais comme
un vent croyant plus fort que lui à l’amour,
Je suis tombé
mille fois parterre, inerte de folies aveuglantes,
Le temps me faisait
trahir l’amour à des désirs insoupçonnés.
Je voudrais
expliquer sur des lignes venant d’une muse,
L’amour que
j’ai, naissant à une femme que j’aime,
Un jour
sortira mes mots prêts à lui dire mes sentiments,
Simplement lui
dire, je t’aime sans crainte d’une trahison d’un ciel,
Simplement de
l’aimer comme un fruit mûr venant d’un amour sûr.
Amour impénétrable
inexpliqué,
Le temps
passant dans la tête à un amour mystérieux,
Désir inavoué
d’un corps ensemencé de désirs à deux,
Douceur d’un
amour devenant un ciel orageux à mon corps,
Supplices inexpliqués
d’un amour qui appelant à des sens sensuels.
Edmond
NICOLLE
Le 04.09.2016
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n°
2272
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