Messages les plus consultés

jeudi 31 août 2017

Long est le chemin


Long est le chemin

Je marche toujours,
Mes pas sur des terres,
Je regarde ce ciel infini,
Un instant de trêve.

Je marche sans fortune à la vie,
Demain, un autre monde,
Des cris d’oiseaux sur mon chemin,
Je chante pour une vie.

J’ai pleuré en silence à ma vie,
Pleurer à m’en faire mal,
Une pluie recouvrant mes larmes,
Un soleil pour serment.

J’ai volé dans les rues des villes,
Mes pas dans la nuit,
Mes yeux entrouverts,
J’ai tant vu de silence.

J’ai fait l’amour au hasard des chemins,
Une rencontre dans un coin aux soupirs,
Partir pour un destin de rêveries,
Mes nuits remplies d’étoiles à des prières.

Je marche aujourd’hui encore,
Découvrir un monde,
Juste un ciel qui passe en silence,
Mes pas sur une vie encore reculée.

Long est le chemin,
Un destin de vie,
Un rêve encore inachevé,
Un chemin de pierres et d’épines.


Edmond NICOLLE
Le 31.08.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2496

https://youtu.be/M0GJRqyPRXA

Long is the way

I always walk,
My steps on land,
I look at this infinite sky,
A moment's truce.

I walk without fortune to life,
Tomorrow, another world,
Cries of birds on my way,
I sing for a lifetime.

I cried in silence to my life,
Crying to hurt me,
A rain covering my tears,
A sun for an oath.

I flew through the streets of cities,
My steps in the night,
My eyes half open,
I have seen so much silence.

I made love at random paths,
A meeting in a corner with sighs,
Going for a destiny of daydreams,
My nights filled with stars at prayers.

I walk still today,
Discovering a world,
Just a sky that passes in silence,
My steps on a still remote life.

Long is the way,
A destiny of life,
A dream still unfinished,
A path of stones and thorns.


Edmond NICOLLE
31.08.2017
Author is creator of poems since 1973
Text n ° 2496

Fleur du mal


(Poésie du jour)

Fleur du mal

Plaqué sur ma page, votre regard,
Un parfum d’amour sur des lignes,
Mon âme se déraisonnant à vos silences,
Pétales de fleurs à mon cœur.

Je voudrais chercher l’amour,
Une prison de lignes m’enfermant de vous,
Votre regard s’éloignant à cette plume,
En silence, une encre se roulant à mes mots.

Voyage sur des océans de rêves imagés,
Des pétales sur des ondes flottantes au vent,
Brille au travers des efflorescences, une femme,
Que je ne toucherais que l’effleurement à ces mots.

J’ai tant aimé à vous voir,
Un rythme comme une chanson sans fin,
Vos doigts effleurent des désirs,
Pris de folie, à vous joindre les miens.

Mes pages sont comme des champs de fleurs,
En silence, vous promettant des proses à votre cœur,
Ma jouissance sur le corps d’une plume, mon amour,
Doucement sur un écrin de pétales, une poésie à vous.

Je vous aime encore

Edmond NICOLLE
Le 31.08.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2495

https://youtu.be/9fqY0cfmgf8

(Poetry of the day)

Flower of Evil

Plated on my page, your image,
A perfume of love on lines,
My soul being unreasonable to your silences,
Flower petals to my heart.

I would like to seek love,
A prison of lines enclosing me from you,
Your gaze moving away from this pen,
In silence, an ink rolling to my words.

Journey on oceans of imagined dreams,
Petals on waves floating in the wind,
Shines through efflorescences, a woman,
That I would touch only the touch to those words.

I so loved to see you,
A rhythm like an endless song,
Your fingers brush against desires,
Taken with madness, to join you mine.

My pages are like fields of flowers,
In silence, promising proses to your heart,
My pleasure on the body of a pen, my love,
Gently on a box of petals, a poetry to you.

I love you again

Edmond NICOLLE
31.08.2017
Author is creator of poems since 1973
Text n ° 2495

mercredi 30 août 2017

Cœur sentimental



Cœur sentimental

Tu me blesses encore,
Amour qui me confondant,
Mes jours pour un véritable calvaire,
Je suis dans une solitude permanente.

Je te cherche encore sur un ailleurs,
J’ai noté ton nom dans un livre,
Je ne suis plus déjà en rouage d’une jeunesse,
Je fais une guerre en impuissance de vie.

Je veux t’oublier,
La mort sera plus mon réconfort,
Arracher ses sentiments d’impuissance,
L’amour qui me détruit chaque jour ainsi.

Amour mystérieux,
Je te cherche à une autre façon,
Se cache en toi mon corps handicapé,
Je n’ai pas de langage approprié pour dire…

Je ne sais pas discerné amour et sentiment,
Joignent les deux à un amour inconditionnel,
L’amour qui me prenant mon temps à en perdre les sens,
Je ne sais toujours pas aimer conventionnellement.

Sentiments et amour se confondant,
Dans ma tête, résonne une douleur,
Je ne sais pas faire la différence,
Mon cœur a tant à aimer.

Edmond NICOLLE
Le 30.08.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2494


Love Heart

You hurt me again,
Love that confuses me,
My days for a real Calvary,
I am in a permanent solitude.

I'm still looking for you elsewhere,
I wrote down your name in a book,
I am no longer in the wheel of a youth,
I wage war in powerlessness.

I want to forget you,
Death will be my comfort,
Tearing off his feelings of helplessness,
Love that destroys me every day as well.

Mysterious Love,
I'm looking for you in another way,
Hides in you my disabled body,
I do not have the proper language to say--

I do not know discerned love and feeling,
Join the two to an unconditional love,
The love that takes my time to lose its senses,
I still do not know how to love conventionally.

Feelings and love blending together,
In my head resounds a pain,
I do not know the difference,
My heart has so much to love.

Edmond NICOLLE
30.08.2017
Author is creator of poems since 1973
Text n ° 2494

samedi 26 août 2017

Tendresses et mots


Tendresses et mots


(Poésie du jour)

Le temps me devient corps,
Les mots se couchant sur mes doigts,
Tendresses qui passent sans toi,
Fragile temps qui passe sur du papier.

J’écris pour t’appeler,
Entre mes doigts des lettres,
Je t’aimerais tant à en faire brûler mes silences,
Loin de tout, nos corps unis au lointain ton.

Je veux simplifier les mots,
Écouter les sons écrits pour toi,
Des proses qui parlent d’amour,
Un cœur qui appelle à l’amour.

Je ne suis plus jeune à mes élans,
Mes doigts caressent tes quelques mots écrits,
Besoin d’amour, loin des bruits du monde,
L’amour qui me brûle entre mes doigts, tes mots.

Je voudrais te dire les mots, des mots en dérobades,
L’amour qui appelle sur une encre de papier chamarré,
L’amour qui se presse entre des lignes, ma poésie à toi,
Entre mes lignes, ton corps à une encre aux amants.

Edmond NICOLLE
Le 26.08.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2493

mercredi 23 août 2017

L'amour se reposera au ceux du temps


L’amour se reposera au creux du temps

Nos bras seront qu’un souvenir,
Le soleil s’échappera de nos cœurs,
Une fraîcheur pour un désir raté,
L’amour comme un vent incontrôlable.

Je suis loin à la vie,
Entre mes doigts, mes années,
Un léger effleurement d’un enfant,
Juste un instant dans tes bras.

Les oiseaux s’aiment à une fenêtre,
Un ciel, déjà effaçant nos pas,
La brise prochaine, annoncera un ailleurs,
Je ne pourrais pas oublier ton regard me serrant.

Doucement s’échappera mon incohérence,
Celui d’avoir cru encore à des mots superficiels,
Ma bouche traduisant le sens d’aimer à tes yeux,
S’échappent ainsi un instant dit croire réellement.

Une image naissant pour une prochaine saison,
Mon cœur vaguant en rêves chimériques,
De lettres déraisonnables sur du papier incompris,
Loin de vous, mon cœur en souffrance.

Edmond NICOLLE
Le 24.08.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2491

samedi 19 août 2017

Les saisons sont déjà disparues


Les saisons sont déjà disparues

Loin mon cœur en alerte,
Je t’aimerais bien encore,
Mon amour, c’est toi ici.

Les saisons sont déjà disparues,
Je t’aimerais encore loin du temps,
L’amour à en perdre mes mots.

Je t’aimerais, mon âme, ma vie,
Je me condamne déjà sans mots,
Écrire, serait plus doux qu’un baiser.

Les saisons sont déjà disparues,
Je t’aimerais encore loin du temps,
L’amour à en perdre mes mots.

Te voir, serais ma chute,
Mes lèvres susurrées le pli de ton âme,
Mes mains cherchées la douceur de ton corps.

Les saisons sont déjà disparues,
Je t’aimerais encore loin du temps,
L’amour à en perdre mes mots.

J’ai oublié l’âge au travers du temps,
Je ne sais plus depuis longtemps compter,
L’amour m’a pris à la gorge, un jour.

Les saisons sont déjà disparues,
Je t’aimerais encore loin du temps,
L’amour à en perdre mes mots.

Je chante des mots, l’amour,
 Les saisons effaçant mon passé,
Demain, on recommence les mots.

Les saisons sont déjà disparues,
Je t’aimerais encore loin du temps,
L’amour à en perdre mes mots.

Je veux t’aimer encore mon inconnue,
Mes lignes, ma douceur féminine,
Te dire, je t’aime sur des lignes en proses.

Les saisons sont déjà disparues,
Je t’aimerais encore loin du temps,
L’amour à en perdre mes mots.

Edmond NICOLLE
Le 19.08.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2489

vendredi 18 août 2017

Juste une fois, une vie


Juste une fois, une vie

Ne laissons pas la fleur s’amoindrir,
L’amour est tellement étonnant,
Mon cœur saignant l’amour pour deux,
Juste une fois, une vie.

T’embrasser une fois,
Les yeux fermés à la tendresse,
Je t’aime tellement à l’amour,
Juste une fois, une vie.

Effleurer ton corps,
Doucement caresser nos secrets,
M’approcher à ton cœur aimant,
Juste une fois, une vie.

Dans la nuit, étourdir nos envies,
Caresser nos peurs et nos craintes,
Faire de nos corps, un désir,
Juste une fois, une vie.

Je t’aimerais à ton appel,
J’entendrai le souffle de ta voix,
La déraison nous emporter pour une vie,
Juste une fois, une vie.

Il nous reste peu de temps,
Le temps d’un jour, une vie,
S’aimer en aliénation,
Juste une fois, une vie.

Edmond NICOLLE
Le 18.08.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2489

mardi 15 août 2017

Cet étrange amour qui me suit


Cet étrange amour qui me suit

Comment l’expliquer,
Amour à la déraison,
Amour folie, je t’aime,
Je t’aime ainsi sans connaître le but,
Cet étrange amour qui me suit.

Étrange façon d’aimer,
Une folie dans ma tête,
Une route parsemée d’embûches,
Vous me regardez, étrange façon,
Cet étrange amour qui me suit.

Étrange destin de l’amour,
Je pense à toi, à vous à mes nuits,
Un esprit malsain en moi,
Une maladie qui me ronge,
Cet étrange amour qui me suit.

Je déraisonne à mes lignes,
Je ne sais plus la route,
J’ai besoin de me saouler,
Le cœur pour aimer,
Cet étrange amour qui me suit.

Tu es encore une enfant,
Une femme sans aspects,
Je freine mon esprit-là,
Il ne peut pas y avoir de raison à cela,
Cet étrange amour qui me suit.

Edmond NICOLLE
Le 16.08.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2488

vendredi 11 août 2017

Le temps en vague


Le temps en vague

Lointain sont mes souvenirs,
Un ciel devenu Mon horizon,
Un peu d’amour avant un voyage,
Le temps devenu mon espace,
Le temps en vague.

J’ai déjà oublié des regards,
 Dans ma mémoire, la place me manque,
J’ai laissé le temps à ma dispersion,
Je marche sans regarder ma ligne,
Le temps en vague.

Laissez-moi à mon rêve,
J’aimerais, je n’aimerai pas,
Peu importe le temps,
Entre mes bras, une erre,
Le temps en vague.

Je suis loin de votre cœur,
Ma liberté, mon attachement,
Une éternité, une écriture,
Je vous ai déjà parlé de mes mots,
Le temps en vague.

Je ne peux et ne peux reculer,
Le temps ma devancé en lignes,
Mes lettres me poussent à une infinie,
Je rêve encore loin de vous,
Le temps en vague.

Edmond NICOLLE
Le 11.08.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2487

lundi 7 août 2017

Je ne suis que l'étranger de votre vie

(Poésie du jour)
Je ne suis que l’étranger de votre vie

Une terre si proche et s’y loin,
Votre cœur n’est pas ici,
Votre regard est à un Dieu,
Le jour et la nuit à des prières,
Je ne suis que l’étranger de votre vie.

Votre drapeau, votre étendard,
Flotte dans les airs, votre fanion,
Couleur sang, couleur blanche,
Le jour et la nuit à des prières,
Je ne suis que l’étranger de votre vie.

Je ne suis pas celui de vos relations,
Mon cœur se croise au vôtre qu’un instant,
Juste un peu de rêve pour oublier nos frontières,
Le jour et la nuit à des prières,
Je ne suis que l’étranger de votre vie.

J’aurais pu vous aimer,
L’amour qui n’est pas de nos vies,
Vous embrassez, seriez blessé,
Le jour et la nuit à des prières,
Je ne suis que l’étranger de votre vie.

Tant de jours sans accord,
Nous nous connaîtrons que peux,
Une sorte de barrière infranchissable,
Le jour et la nuit à des prières,
Je ne suis que l’étranger de votre vie.

Edmond NICOLLE
Le 04.08.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2486