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jeudi 30 juin 2011

Sur ce lit de soie m'a terre

Sur ce lit de soie m’a terre




Comme un frison du soir,

Je me noie sur un air de musique,

Une fraîcheur absorbante,

Je dormirais avec les étoiles,

Sur ce lit de soie m’a terre.



Je serais nu pour toi,

Ma belle aux vallons sinueux,

D’où je ne serais pas vainqueur,

Mes mots seront les échos de la nuit,

Sur ce lit de soie m’a terre.



Seul le bruit des arbres,

Chanterons aux feuilles complices,

Ma couche une terre devenue mon fruit,

Le soin d’une vertu d’un agrume mûre,

Sur ce lit de soie m’a terre.



Elle me prendra bien trop vite,

Sur ce lit ma tombe à demain,

Je veux chanter jusqu’aux étoiles,

Un respectable chant pour elle,

Sur ce lit de soie m’a terre.



Je ne me coucherais pas encore,

Jusqu’aux aurores mon souffle,

Celui de t’aimer à chanter,

Celui des refrains d’un ciel aux oiseaux,

Sur ce lit de soie m’a terre



Vient dansons ensemble la naïveté,

Celui d’aimer jusqu’aux derniers souffles,

L’amour de celle qui nous amènera dans son corps,

Les pieds nus chantés encore une fois,

Sur un lit de soie m’a terre.



Edmond NICOLLE le 30.06.11

http://edmondnicolle.wordpress.com/

















mardi 28 juin 2011

Aux battements de mon coeur

Aux battements de mon cœur




Je suis le mouvement du pulse,

Comme un battement de la vie,

Le cœur au combat,

Un cheminement aux artères,

Aux battements de mon cœur.



Je cours contre-la-montre,

Celui de la vie,

Un tensiomètre pour mesure,

Je me bats dans mes artères,

Aux battements de mon cœur.



Je ne veux pas tomber,

Chuter sur un lit de névrose,

Bien souvent ma cause névralgique,

Sans voir le jour se lever correctement,

Aux battements de mon cœur.



Je cours le mouvement,

Ma puissante physique,

Sur les chemins tortueux,

Ma peine sera ma vie,

Aux battements de mon cœur.



Une montre au cœur,

Celle du temps et du calcul,

Une survie de fréquence,

Je cours ma distante,

Aux battements de mon cœur.



Edmond NICOLLE LE 28.06.11

http://poemesauxtraversdutemps.over-blog.com/



















dimanche 19 juin 2011

Haute m'a prière à toi

Haute m’a prière à toi




Sur les chemins du monde,

J’ai fait ma croix,

Celui de t’avoir aimé,

Un jour sur un autel,

Haute m’a prière à toi.



J’ai porté ta souffrance,

Dans un ciel à dieu,

Le bleu devenu l’espérance,

Le rouge devenu un sang d’une croix,

Haute m’a prière à toi.



J’ai traîné mon âme dans les égouts,

Toi là haut dans un ciel clair,

Combien j’ai prié à toi en fausses notes,

Je ne savais pas encore,

Haute m’a prière à toi.



Mes poèmes sont tes mots,

Ensemble à écrire des espoirs,

L’amour simple d’un enfant,

L’amour d’un père,

Haute m’a prière à toi.



Il me reste du temps ton temps,

Ma vie entre tes mains,

Celui d’un poète sur ses lignes,

Ecrivent son ciel noir ou bleu,

Haute m’a prière à toi.



Je me réconforte auprès toi,

Sur le chemin qui me mènera à toi,

Dans un ciel bleu sans douleurs,

Celui du repos de l’âme,

Haute m’a prière à toi.



NICOLLE Edmond le 19.06.11

http://edmondnicolle.wordpress.com/

vendredi 17 juin 2011

Je t'aime

Je t’aime




Je t’aime,

Les couleurs de l’amour,

Courir vers ce vent de musique,

Le son qui chante mes matins,

Sur mon cœur l’amour d’un dieu.



Je t’aime,

Loin du monde,

Près de toi je chante,

Entre tes mains tes blessures,

Sur mon cœur l’amour d’un dieu.



Je t’aime,

Ton histoire,

Mon testament,

Ecrire le son des couleurs,

Sur mon cœur l’amour d’un dieu.



Je t’aime,

J’ai signé mes lignes,

Celui de l’amour avec lui,

Loin des corps d’âmes, mon père,

Sur mon cœur l’amour d’un dieu.



Je t’aime,

Chacun sur son destin,

J’ai prié à toi ma foi,

Sur les traces de ton disciple,

Sur mon cœur l’amour d’un dieu.



Je t’aime,

Jamais je n’ai cessé de croire,

Une histoire d’amour,

Celle d’une foi en dieu,

Sur mon cœur l’amour d’un dieu.



NICOLLE Edmond le 17.06.11

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samedi 11 juin 2011

Poésie



Poésie




Poésie,

Tu chantes,

Comme un clairon du matin,

Une armée de mots sur une feuille,

Et moi docile j’écris à mon réveil,

Ton histoire notre histoire,

M’a façon délibérer à tes propos,

Amour désinvolte de notes noires et blanches,

Sur le papier ta postérité légendaire des amants.



Poésie,

Je vois une femme,

Mon amante sur les lignes,

Je fais l’amour quand fini le poète,

Des lignes remplies à mon sang,

De mots à une sécrétion amoureuse,

Sur mes lèvres sortant tes mots,

Amour désinvolte de notes noires et blanches,

Sur le papier, ta postérité légendaire des amants.



Poésie,

Quand finira ce chemin ?

Je veux me délibérer de tes proses,

Une ancre sur mon corps,

D’une amante le feu à mon amour,

Je fuis je ne peux sortir,

Oh mon amante ma femme,

Amour désinvolte de notes noires et blanches,

Sur le papier, ta postérité légendaire des amants.



Ainsi est l’histoire des amants sur les lignes.



NICOLLE Edmond le 12.06.11

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vendredi 10 juin 2011

transcendance de tes mots en vos mots



Transcendance en tes mots en vos mots




Transcendance en tes mots en vos mots,

Le ciel m’est ouvert à vos mots,

Une muse ou un dieu sur mes lettres,

Des pages inspirées par excellence,

Une foi indélébile de mots.



Une foi copiée par grâce,

Celle d’où je suis né de ma descendance,

Celle de ma prétendante foi le lien,

Dans mes entrailles une muse ou un dieu,

Rempli chaque jour mon espace instructeur.



Je n’ai qu’une âme tournée à vous,

Dieu où muse peut importe les sens,

Celle de donner mon temps à écrire,

Celle de vous aimer ou de vous haïr,

Panser dans mes nuits à mes cicatrices du jour.



Je fais abstrait du jeu votre jeu,

Chaque jour, une journée en moins,

Du temps à gagner à ma fuite,

La fuite du temps, celle avec vous,

Née d’un serviteur de mots à m’a fin.



Le ciel m’est ouvert,

J’écris des lignes dictées,

D’un dieu où d’une muse,

Ma libération ma liberté,

Une prose, un sens, mon échapper.



NICOLLE Edmond le 11.06.11

http://edmondnicolle.wordpress.com/

maman poétesse



Maman poétesse




Maman poétesse,

Je t’offre ma renaissance,

Loin dans ta pensée mon approche,

Sur des chemins divergents,

J’ai dessiné mon cœur en souvenir,

Ce quelque chose loin entre nous,

Ce visage entre mes souvenirs,

Cette aquarelle pour l’éternité,

Ici après mon passage sur tes doigts.



Maman poétesse,

Nous sommes le fruit d’un dieu,

Une muse dans nos corps,

Tant de souffrance à écrire,

Un appel au repos de l’âme,

Donc tu es sortie blesser d’écrire,

Tu m’as prévenu de cette muse,

J’aurais aimé oublier les sens,

Celle qui me dicte à mes entrailles.



Maman poétesse,

Je t’écris cette lettre,

Je sais qu’un jour tu ne seras plus,

J’ai fait ton portrait, tes désirs,

Emporter ces souvenirs avec toi,

Emporter mon cœur avec toi,

Les poètes unis dans un ciel de repos,

Je passerai te voir sur tes lignes,

Figurine d’une muse passée.



NICOLLE Edmond le 10.06.11

lundi 6 juin 2011

J'écris mon hitoire

J’écris mon histoire




J’écris mon histoire,

Enfin non,

Elle écrit mon histoire,

Une histoire longue,

Je ne sais où je suis encore,

Sur les lignes une souche,

Une histoire avant moi.



J’écris mon histoire,

J’ai marché sur les temps,

Hier n’est pas fini encore à mes lettres,

Une thérapie entre moi et la vie,

Comme une ligne sans fin de but,

Ce fil invisible de lettres en contenue.



J’écris mon histoire,

Je cours à ma fuite,

Celle qui me suit dans mes lignes,

L’histoire d’o, histoire d’une vie,

Je voudrais fuir le temps.



J’écris mon histoire,

Hier c’était mon histoire,

Aujourd’hui me suit mes lignes,

Une encre noire indélébile,

Une histoire d’o, histoire d’une muse.



NICOLLE Edmond le 6.06.11















Douce métaphore du temps

Douce métaphore du temps




Je me dirige vers tes pas,

Je ne crains pas le souffle du vent,

Criard sous les persiennes de rouelle,

J’aime l’alcoométrie des sens,

Mon sang sous alcôve d’une muse.



Me pénétrer avec métaphore aux lettres,

Couleur empreint de ligne taché,

Mon âme ce perdent à l’indivisible,

Qu’un vent saura me tuer un jour de crise,

Aux ablations des hommes.



Je suis empreint de retourner mon âme,

Sur les lignes d’un prophète du passé,

La sagesse d’un oratoire,

Mes mots non plus de sens virtuel,

Retourner sur les perceptions d’un Dieu.



Douce métaphore du temps,

Suivre les pas sur un ciel métabolique,

D’un arc mon élévation aux prières,

Une douce thérapie d’une missive,

Adossent mes lettres suppliantes aux crises.



NICOLLE Edmond le 6.06.11





























samedi 4 juin 2011

Elle avait ce regard naissant d'une fleur

Elle avait ce regard naissant d’une fleur




Un énoncé dans le visage,

Comme une toile du passé,

De couleurs multiples,

Je là peins dans mon silence,

Attentive me scrute dans le regard,

Elle avait ce regard naissant d’une fleur.



Aurait-elle voulu me lire ?

De lignes invisibles son langage,

En silence immobile sur une pose,

Un écrin de couleurs sur un papier,

Voudrait-elle me laisser une trace ?

Elle avait ce regard naissant d’une fleur.



Elle sentait encore le lait,

Comme un sujet que l’on ne pouvait toucher,

Que seul le regard pouvait si approcher,

Une légèreté brulante aux couleurs de ses yeux,

Me suis m’y à alterner dans le silence des lignes,

Elle avait ce regard naissant d’une fleur.



Comme le temps, elle passe,

Légère comme une fleur perceptible,

Insaisissable sur la voix,

Dont je ne connais la tonalité,

Duquel je ferme cette parenthèse,

Elle avait ce regard naissant d’une fleur.



NICOLLE Edmond le 5.06.11

vendredi 3 juin 2011

Prison occultisme

Prison occultisme




Cours dans les dédales,

Une fuite spiritisme,

Un faut semblant de magie,

Accoupler dans un lit l’amour,

Un moment désabusé.



Les yeux rivés à la nuit,

Le soir travesti d’une doublure,

S’endort le démon au jour,

Le diable dans l’âme,

Des cœurs dans l’enfer.



Je retourne à ma page,

Prison occultisme,

Je m’y fais ma place,

Aux écritures d’une missive,

Une fuite délibérée testa-mentale.



Mes yeux au ciel,

Me brule au repos,

Une prière pour l’homme,

Me reste un peu de force,

Enoncer le spiritualisme d’un Dieu.



NICOLLE Edmond le 4.06.11

http://edmondnicolle.wordpress.com/