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lundi 29 février 2016

C'est toi que j'aime

C’est toi que j’aime
(Poésie pour les amoureux d’une histoire)

J’ai dans le cœur des tendresses,
Un amour qui m’empoisonne à mes nuits,
Je fais un semblant de vivre,
Sans toi  rien n’est possible,
Ensemble, la main dans la main.

Je voudrais être avec toi,
Nos nuits pas comme les autres,
Poètes unis sur des accords de mots,
Tu es m’a soif, mes envies, ma folie,
C’est toi que j’aime.

Respirons l’amour,
Ensemble partir loin,
Caché ensemble, nos envies,
Le cœur qui nous appelle,
L’amour priant nos consonances.

Je voudrais être avec toi,
Nos nuits pas comme les autres,
Poètes unis sur des accords de mots,
Tu es m’a soif, mes envies, ma folie,
C’est toi que j’aime.

Viens mon amour,
Le temps a passé à attendre,
Dans tes bras, un homme qui appelle,
Nous libérer, la vie et bien courte,
Libérer nos corps de cette prison interminable.

Je voudrais être avec toi,
Nos nuits pas comme les autres,
Poètes unis sur des accords de mots,
Tu es m’a soif, mes envies, ma folie,
C’est toi que j’aime.

Doucement, nous apprendrons à refaire le temps,
Apprendre l’amour,
Comme des amants d’une histoire,
Une amitié intime à des âmes,
Seulement t’aimer et te rassurer.

Je voudrais être avec toi,
Nos nuits pas comme les autres,
Poètes unis sur des accords de mots,
Tu es m’a soif, mes envies, ma folie,
C’est toi que j’aime.

Je veux être fou avec toi,
Ensemble sur des chemins interdits,
Tu me prendras à tes désirs,
Ta main doucement effleurée mes sens,
Nous entrerons dans nos corps à de désirs fougueux.

Je voudrais être avec toi,
Nos nuits pas comme les autres,
Poètes unis sur des accords de mots,
Tu es m’a soif, mes envies, ma folie,
C’est toi que j’aime.

Je prendrai ton corps délicatement au mien,
Doucement effleurera mes lèvres à tout azimut,
Mes lèvres aux tiens,
Caressé ensemble, nos maux, nos désirs, nos fantasmes,
Les corps en appuis sur un lit complice.

Je voudrais être avec toi,
Nos nuits pas comme les autres,
Poètes unis sur des accords de mots,
Tu es m’a soif, mes envies, ma folie,
C’est toi que j’aime.

Nous libérer doucement de nos histoires,
Ensemble sur le chemin de libertés,
Retrouver les essences de la vie,
Nos corps abandonnés à un amour,
Essuyer ensemble nos peines.

Je voudrais être avec toi,
Nos nuits pas comme les autres,
Poètes unis sur des accords de mots,
Tu es m’a soif, mes envies, ma folie,
C’est toi que j’aime.

Edmond NICOLLE
Le 01.03.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2148

samedi 27 février 2016

Comment est-il possible de s'aimer encore !


Comment est-il possible de s’aimer encore !

L’amour et un carillon dans le temps,
Le jeu des risques dans l’ombre des numéros,
Tonalité d’un amour incertain sur des ondes,
Refus de parler sur une voix,
Comment est-il possible de s’aimer encore !

Tu caches ton visage,
Ton regard, tu le veux trahissant,
Trahison d’une vie, le regard fermé à nos nuits,
Ton cœur devenu un béton infranchissable,
Comment est-il possible de s’aimer encore !

J’ai dans le cœur un amour,
Dans mes veines coule un sang d’aimer,
J’entends des mots venant de mon cœur,
Philosophie dans mon corps de poèmes,
Comment est-il possible de s’aimer encore !

Tu m’écris ce que tu veux,
Et moi je cherche encore ton amour,
Jeu devenu abject dans des mots,
Passions à en avoir peurs d’une suite,
Comment est-il possible de s’aimer encore !

Tu es s’y faible, et je suis seul,
Une femme devenue un homme mentalement,
Caractère devenu repoussant de blessures,
Insulte sur des mots de lignes,
Comment est-il possible de s’aimer encore !

Je tourne encore une fois, une nouvelle page,
Un amour qui va se perdre sur des lignes,
Des raisons d’aimer, fragilisé d’un amour,
Une histoire devenue une guerre de mots,
Des silences dans ma nuit, habités de haines,
Comment est-il possible de s’aimer encore !

L’amour devenu des blocages sans raisons d’un amour,
Amour troublant sur des lignes d’un téléphone,
Pas image portrait, pas de sons de ta voix,
Je te quitte ainsi, mon cœur dans ses peines,
Le temps fera le reste d’un amour déchu,
Comment est-il possible de s’aimer encore !


Edmond NICOLLE
Le 28.02.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2147

vendredi 26 février 2016

Le temps a disparu à mon coeur

Le temps a disparu à mon cœur

J’ai beau prier le ciel,
Je reste dans ma solitude,
Mon cœur pleure toujours,
Cet amour qui m’a glissé entre mes doigts,
Je ne suis pas beau, mais l’amour s’accrochant encore à moi,
Le temps a disparu à mon cœur,
Celui de t’avoir aimé à une histoire.

Pourtant, j’ai cru cet instant,
Celui de croire encore cet amour,
Il est passé le temps de nos sourires,
Je t’ai toujours dit mon amour,
Celui qui est bien seul sans personne,
Le temps a disparu à mon cœur,
Celui de t’avoir aimé à une histoire.

Ma solitude a pris le dessus,
Je me glisse sous mes draps sans toi,
Il fait froid sans toi,
Ton amour et ailleurs,
Ce regard près de toi,
Le temps a disparu à mon cœur,
Celui de t’avoir aimé à une histoire.

Tu aimes encore,
Les souvenirs d’un homme,
Le regard se croisant dans cette rue,
L’amour qui se joue dans cette mémoire,
Moi je ne suis qu’un homme qui pensait,
Le temps a disparu à mon cœur,
Celui de t’avoir aimé à une histoire.

J’espérais te voir un jour,
Te dire la vérité de mon chagrin,
Celui qui t’aimait sans compter,
Te montrer celui de tant de lignes,
L’amour a fait défaut sur l’histoire,
Le temps a disparu à mon cœur,
Celui de t’avoir aimé à une histoire.

Une histoire des amants tombés à l’eau,
Je veux revivre le temps avec des soleils,
Mes espoirs à un amour,
Le véritable amour,
L’amour qui ressemble à des promesses,
Le temps a disparu à mon cœur,
Celui de t’avoir aimé à une histoire.

Ne viens pas me chercher,
Ton cœur souffrira d’avantage de cet amour,
Celui qui te parle, n’est pas celui que tu aimes,
Juste une image entre nous à des mots,
Le temps passe pour moi à une folie d’une histoire,
Le temps a disparu à mon cœur
Celui de t’avoir aimé à une histoire.

J’ai cru à cette histoire,
Aujourd’hui, je tourne le dos à cet amour,
Non, je ne veux plus croire à notre histoire,
Oublier cet instant aux rêves,
Celui qui me blesse d’avantage à mes jours,
Le temps a disparu à mon cœur,
Celui de t’avoir aimé à une histoire.

Va retrouver celui qui t’attend,
Celui qui te fait tant souffrir encore,
Son amour et bien plus fort que le mien,
Celui qui, tu dis, il est beau,
Deux êtres qui s’aiment encore,
Le temps a disparu à mon cœur,
 Celui de t’avoir aimé à une histoire.

Edmond NICOLLE
Le 27.02.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2146

mardi 23 février 2016

Mon autre

Mon autre

 Amour à ma vie,
Ma faiblesse vers toi,
Tu es mon autre, cet amour,
Le poids des années, ton absence,
Tu es l’amour sans moi,
Il nous manque cette raison,
Sagesse d’une vie, mes nuits sans toi.

Je t’aime, je m’y perds dans cet amour,
Chaque jour, est là même chose,
Plus je pense et plus j’ai peur de toi,
 De cet amour en déraison,
L’amour en raison à des folies,
Que ferons-nous, tu connais déjà notre amour,
Un combat déjà perdu d’avance pour moi.

J’ai tant besoin de ton amour,
Tu m’as déjà retrouvé bien des fois,
Comme un vent, j’étais parti ailleurs,
Ton amour, l’essentiel à ma vie,
Un chemin difficile de croire,
Un rêve aux bouts des mains,
Ton amour dans tes secrets.

Je voudrais mourir un jour,
Renaître en toi, renaître à cet amour,
Un amour pas comme les autres,
Nos chemins si différents de l’amour,
Unir ensemble le poids des années,
Une histoire des amours perdus à un (e) autre,
Cette alliance qui n’est plus qu’un souvenir.

Il me manque toi, cet amour qui me retient,
Avant de mourir, toi et moi dans le silence,
 Je veux nous unir dans cette foi,
 Un chemin à deux en silence à l’amour,
Prendre nos mains comme tu le fais sur des parchemins,
Des lignes devenues l’amour sur des cœurs,
Aide-moi à comprendre cet appel en nous.

L’amour tellement difficile pour moi, pour toi.


Edmond NICOLLE
Le 24.02.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2145

lundi 22 février 2016

Amour raison, amour en déraison


Amour raison, amour en déraison

Je perds mes forces,
Mon intérieur condamnable,
L’amour indéchiffrable d’aimer,
Je ne sais pas les sens de l’amour,
Mon corps saisit par une spirale,
Une foi sans foi acquittée de mots.

Une âme pénétrant mes organes,
Un consensus de mots en révolutions,
Corps bataillant à de principes historiques,
Doucement entravés, les mouvements,
Une femme m’entraînant à une issue,
Mon corps en révolutions mental.

Deux partis en contradictions,
Des mots qui font bataillent,
Offensant l’asymétrique d’un amour,
Les jeux individuels en phrases,
Tu m’aimes, sonorité d’une âme,
Mon cœur en contrepartie d’aimer.

Amour raison, amour en déraison,
Une bataille à long terme,
Fondements intellectuels en abolitions,
L’amour étant le grand vainqueur,
Organes génitaux, mentaux et corporels,
Unions relationnelles passives, où impulsifs mentaux.

Je t’aime, tu m’aimes,
Une foi sans liens identique,
Mental assujetti de mots,
Union expérimentale d’une foi,
L’amour en déraison d’un acquis corporel,
   Deux corps en mental, recherchant une issue.


Edmond NICOLLE
Le 23.02.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2144

Je rêve de toi de vous, l'amour sans raison


Je rêve de toi de vous, l’amour sans raison

Un cœur en déraison,
Chercher encore cette femme,
Un amour défendu, un amour libre,
Des regards qui se recherchent, encore,
Larguer des mots qui font souffrir encore,
Je t’aime, je t’aime plus,
Je rêve de toi de vous, l’amour sans raison,
Qu’une fleur sur des cœurs solitaires.

Je t’aime encore sur des folies,
Des folies sur des cœurs amoureux,
Des mots qui n’en finissant plus,
Des rêves qui se recherchent encore à un amour,
Amour qui se perd avec le temps,
Des mots, je te quitte et je te cherche encore,
Je rêve de toi, de vous, l’amour sans raison,
Qu’une fleur sur des cœurs solitaires.

Un jour, nous serons pour mourir à un Dieu,
Nos chemins pour un peu de temps,
Le temps ne compte plus pour moi,
Tu viens où tu ne viens pas,
Je t’aurais aimé dans ce rêve d’un instant,
Le temps et de s’aimer encore,
Je rêve de toi, de vous, l’amour sans raison,
Qu’une fleur sur des cœurs solitaires.

Edmond NICOLLE
Le 22.02.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2143

vendredi 19 février 2016

Poète solitaire

Poète solitaire

Poète sans lieu,
Ces mots sont un voyage,
Indéterminable proses,
Une muse étant son amour,
Poète solitaire.

Ne parle plus,
Prisonnier de lettres,
Des lettres devenues des fantasmes,
La nuit étant le jour,
Poète solitaire.

J’écoute une chanson,
J’en partage les mots,
Mon corps à une aventure,
Je ferai l’amour avec elle,
Poète solitaire.

Non, vous ne pouvez pas savoir,
Je me fais du bien seul,
Entre mes mains, des voyages,
Je fais l’amour en m’estropient de mots,
Poète solitaire.

Je voudrais aimer ce qui n’est pas ici,
Mon corps lacé des habitudes,
Mes mains caressent le membre,
Le temps qui n’existe pas,
Poète solitaire.

Partir loin,
Chercher un ailleurs,
Une nuit sans muse,
Jalousie de mon corps,
Poète solitaire.

Il est déjà trop tard,
Je suis ce prisonnier,
Seul, les mots s’évadent sans moi,
Mon ventre déjà vidé d’une substance,
Poète solitaire.

Ma chair devenue un corps s’en moi,
Décadence humaine,
Je veux encore jouir un instant,
Une muse m’entraîne vers elle dans ses mots,
Poète solitaire.

J’écris, je me vide de lettres,
Mon cerveau loin du monde,
Une femme m’attend encore,
Beauté des corps, mon supplice,
Poète solitaire.

Je chante cette chanson,
Qui n’est pas la mienne,
Mon corps ensorcelé de proses,
Je veux sortir de cette prison,
Poète solitaire.

Edmond NICOLLE
Le 20.02.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2141






  






Regard fragile

Regard fragile

Toi et moi sur une histoire,
Des yeux vers un ciel,
Nos cœurs à des émotions,
Une peur de se faire mal encore,
Notre regard sur un bout de fil d’une onde,
Fragile à des destins identiques.

Le temps et déjà passé,
Nos erreurs sont ici,
La sentence jusqu’à notre mort,
Nos cicatrises ne s’apaisent plus,
Le monde n’est pas fait pour des sentiments,
Seul, le ciel et notre secours.

Vient en silence vers moi,
Ici, nous serons mieux qu’ailleurs,
Nous maintenir à nos nuits de silence,
Non, ne parle pas, reste ici te reposer avec moi,
Nous serons mieux en silence loin des bruits,
Le temps sera moins dur ensemble.

Toi et moi

Edmond NICOLLE
Le 19.02.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2140

jeudi 18 février 2016

Prends ma vie...

Prends ma vie …

Le temps passe ainsi sans toi,
Je regarde le ciel,
Souvent, je pense à toi mon inconnue,
Ma vie avec toi,
Prends ma vie, prend ma main, mon inconnue de la vie.

Souvent j’ai oublié ce que tu m’as donné,
Le temps, le souffle à ma vie,,
Donne-moi la vie, l’amour  pour comprendre,
Tu me manques depuis toujours,
Prends ma vie, prend ma main, mon inconnue de la vie.

Non, je ne veux pas revenir à cette histoire,
Bien souvent, j’ai tourné en rond,
Je  cherchais dans mes nuits, cet amour,
Mes jours, seul sur ce chemin de la vie,
Prends ma vie, prend ma main, mon inconnue de la vie.

Je ne sais plus qui je suis encore,
Je me regarde sur un miroir,
J’ai bien changé à cette vie nue,
J’écris, toujours mais sans réponse de l’amour,
Prends ma vie, prend ma main, mon inconnue de la vie.

Je voudrais refaire le temps,
Ma vie dans un cœur à aimer,
Je suis prêt à aimer encore une fois,
Ensemble pour des nuits cachées,
Prends ma vie, prend ma main, mon inconnue de la vie.

Je saurais t’aimer,
Mon amour n’a pas de fin,
Prolonger cet amour pour une vie,
Une aventure à cette histoire,
Prends ma vie, prend ma main, mon inconnue de la vie.

Je veux y croire encore,
Ma réalité, c’est un amour à demain,
Une femme, une amante à ma vie,
Je veux briser le temps des lois,
Prends ma vie, prend ma main, mon inconnue de la vie.

Cacher, cet amour quelque part,
Loin des hommes et des règles,
Je veux surpasser le temps,
Un passé qui nous donne ce tournis,
Prends ma vie, prend ma main, mon inconnue de la vie.

Je ne suis pas parfait de sens,
La vie m’a détourné de bien de choses,
Souvent, le silence m’était tyrannique,
Aujourd’hui, mon regard se pose à un amour,
Prends ma vie, prend ma main, mon inconnue de la vie.

J’ai dans le cœur des sentiments,
Un amour encore plus pressent,
Un amour pour continuer à cette vie,
Il me reste encore cet amour,
Prends ma vie, prend ma main, mon inconnue de la vie.

Edmond NICOLLE
Le 19.02.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2139