Poésie de l’âme et du corps
Poésie
vagabonde,
Je traîne mes lettres pour un soupir,
Un cœur jamais
encore assouvi,
Sens libérer
du corps et d’âme,
L’amour en extrême
folie,
Poésie de l’âme
et du corps,
Ma liberté prisonnière
en prose.
Infini temps,
Je ne compte
plus mes distances,
Le regard furtif
d’un amour,
Mes pas doucement
s’éloignant aux temps,
De milliers
de lignes déjà passées,
Poésie de l’âme
et du corps,
Ma liberté prisonnière
en prose.
Mes mots
sont d’une muse,
Muse contrariante
de mon corps,
Mon âme
alourdit de propos contraires,
Priant cette
muse de m’abandonner,
Je voudrais me
découvrir encore,
Poésie de l’âme
et du corps,
Ma liberté prisonnière
en prose.
Découvrir l’amour
dans ces facettes,
Ajointé, mon
âme à un corps sans différenciation,
Le poète étant
d’abstenir les lois limite de l’amour,
Mon âme
cherchant un abouti organique,
Unissent mes
pas au sien,
Poésie de l’âme
et du corps,
Ma liberté prisonnière
en prose.
Poésie du
poète,
De lignes
qui ne cessent sur des parchemins,
De lignes
détachant d’une muse, un amour,
Prisonniers mentalement
en proses,
Un poète qui
voudrait aimer en l’amour,
Poésie de l’âme
et du corps,
Ma liberté
prisonnière en prose.
Edmond
NICOLLE
Le 05.02.2016
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n°
2124
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