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lundi 31 octobre 2011

Ensemble nous marcherons


Ensemble nous marcherons




Nous marcherons le long des mers,

Qu’un Dieu nous offrira sur notre chemin,

Notre vie ensemble par monts et par veaux,

Un idéal d’une enfant à son père,

D’un amour en cohérence,

Ensemble nous marcherons en silence,

Sur les pas féerique d’une muse.



Je jalouse ta poésie inventive à demain,

Le sang d’une mure dans tes veines,

Ton regard déjà au voyage d’un sentiment,

Ta sérénité sur les lignes d’un papier,

Une recherche d’un monde féerique,

Ensemble nous marcherons en silence,

Sur les pas féerique d’une muse.





Tu es ma provocation de mes lignes,

Ma vie te sera offerte sur mes lignes,

Entre tes mains, mes proses d’une vie,

Mes souvenirs comme de l’or de t’avoir aimé,

Un livre ouvert à ton chevet de tes nuits,

Ensemble nous marcherons en silence,

Sur les pas féerique d’une muse.



Mon enfant, ma fille,

Sur tes pas je te suivrais en silence,

Nos mains ensemble sur les chemins,

D’un Dieu notre compagnon de route,

Ici où ailleurs notre destin entre ses mains,

Ensemble nous marcherons en silence,

Sur les pas féerique d’une muse.



NICOLLE Edmond le 1.11.11 n° 1200

http://poemesauxtraversdutemps.wordpress.com/



















dimanche 30 octobre 2011

Assouvir de désirs

Assouvir de désirs




Assouvir de désirs,

Qu’un Dieu m’aura donné,

Une naissance à la fleur,

Mon corps a tous ces états,

Qu’une lèvre aura humecté,

Le sens de l’amour.



Comme un cheval au galop,

Je m’y fis prendre à plus d’une fois,

A de désirs imaginés,

Entre poésie et rêve,

A de sons qui n’existent pas,

Qu’une plume à son trajet.



Je voudrais tant aimer encore,

A cette fleur, ma plume,

Ecrire ma réalité au sens propre,

Aimer ce que dieu m’offre à sa nature,

Assouvir à des désirs incontrôlables,

Qu’un diable aura visité un jour à ma plume.



Je suis ce poète,

Celui qui écrit avec une plume,

Dans le silence de la nuit,

Mes silences à tant d’année passée,

À écrire aux saisons qui passent,

L’âme qui me trahit aux lettres d’un diable.



Je ne sais pas le temps qui me reste,

Peut-être d’un enfant qui grandi encore,

Qui ne saura jamais cette fin,

Aimer pour raison à vous dire mes sens,

Celui de vous aimer avec ma plume,

Entre rêve et réalité d’un papier sans fin.



NICOLLE Edmond le 31.10.11

http://poemesauxtraversdutemps.wordpress.com/

mercredi 26 octobre 2011

Je t'aime toi mon inconnue

Je t’aime toi mon inconnue




Sur des lignes de poésie ont s’invente,

Des formules plus hautes de proses,

De l’extrême pensé de s’aimer,

Je joins mes lignes aux tiennes,

D’une amie, d’une amante,

Je t’aime toi mon inconnue,

Celle que je ne connais pas.



Loin de moi mes premiers départs,

Mes premiers amours déjà disparus,

Sur des lignes du passé,

J’ai gardé encore une touche pour toi,

D’une amie, d’une amante,

Je t’aime toi, mon inconnue,

Celle que je ne connais pas.



Celle de t’écrire ce qu’il me reste,

Ce que demain ont s’inventera des lignes,

Une nuit sans s’être jamais connus,

Des nuits à s’écrire comme des prières à Dieu,

D’une amie, d’une amante,

Je t’aime toi, mon inconnue,

Celle que je ne connais pas.



J’écris pour mon inconnue de la poésie,

Celle qui partage mes sentiments à la prose,

L’amour d’aimer à s’écrire sur des feuilles,

Qu’un jour peut-être nous serons mariés sur des lignes,

D’une amie, d’une amante,

Je t’aime toi, mon inconnue,

Celle que je ne connais pas.



Ma vie est sur mes lignes,

Le témoin de mes pensés,

Le témoin de mes nuits à écrire,

D’une prose à t’aimer toujours,

D’une amie, d’amante,

Je t’aime toi, mon inconnue,

Celle que je ne connais pas.



NICOLLE Edmond le 27.10.11

http://merveillespoetiques.forumperso.com/forum

dimanche 23 octobre 2011

Souvenirs

Souvenirs




Souvenirs,

Tu me laces,

Tu m’emprisonnes,

De souvenirs revenants,

J’en n’ai oublié mon ère,

L’amour toujours aux aiguës.



Les pages s’envolent,

Je ne me rappelle-plus,

Les sens de mes mots,

C’est écrit pour un jour,

Effacent un jour suivant.



J’ai peur, j’écris,

Peut-être qu’un jour,

Je me relirai sur des pages,

Par un souffle d’une pause,

Qu’un Dieu aura compassion.



J’ai tellement pleuré,

Par la valeur des mots,

J’en n’ai oublié les sens,

J’écris pour ne pas oublier,

Ce qu’il me reste d’indulgent.



Peut-être me reliras-tu,

Toi le témoin caché en ma mémoire,

D’une âme remplie de souvenirs,

Il me reste ce que mon cœur à l’amour,

Chaque jour, une pulsion de tenir.



Souvenir agréable si vite échappées,

Souvenir d’une page qui saura me dire,

Celui d’avoir donné mon cœur au temps,

Qu’un pressent me restant,

Celui d’avoir un cœur à vous aimer encore.



NICOLLE Edmond le 24.10.11

http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.com/







samedi 22 octobre 2011

Ma liberté, ma vie

Ma liberté, ma vie




J’ai dans ma poche un passeport,

Mon âme comme l’envole d’un oiseau,

Je sécrète des lignes de poésies,

Dans un tourbillon de feuilles brunies d’encres,

Du crépuscule à l’aurore,

Mes pages sont remplies de rêves.



Un cadeau du ciel, mon maître,

Les sens même d’un envol,

Je parcours le temps sans définitions,

Ma liberté sur des envols imprévisibles,

Du crépuscule à l’aurore,

Mes pages sont remplies de rêves.



Ma vie est un en envol constant,

Je n’en connais point la fin de mon destin,

Toujours plus haut dans un ciel crépusculaire,

Ma lumière de mes nuits, les sens,

Du crépuscule à l’aurore,

Mes pages sont remplies de rêves.



J’écris ma liberté, mes contradictions,

Mes oppositions de règles,

Loin je m’en vais à tire-d’aile,

Au ciel, mon adresse, mes espoirs,

Du crépuscule à l’aurore,

Mes pages sont remplies de rêves.



Je suis rempli d’incohérence,

Mon style, ma poésie,

Ma liberté sur des lignes,

Un rêve incessant de proses,

Du crépuscule à l’aurore,

Mes pages sont remplies de rêves.



NICOLLE Edmond le 23.10.11

http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.com/

vendredi 21 octobre 2011

Le temps nous presse

Le temps nous presse (A ma fille)




Sur des voies à sens unique,

Gagné du temps me blessent,

Une image sur nos sens,

De route traquant le retard,

Une photo notre ennemie.



Le catalogue de prépositions,

Une doctrine de bien être,

Sur mon corps déjà laver,

Une note invariable de sens,

Le poète déjà en retard.



Loin de moi ce retard,

Je ne veux pas rater ce train,

Le sens d’une vie entre mes mains,

Une enfant sur le temps à demain,

Je veux encore tendre mes mains à elle.



Ne pas se blottir à la décrétions du temps,

Le crayon sur la poussière des écrits,

Volet clos de sommeil fatiguant de peines,

Mon corps sur le retard de marcher au passé,

Un appel me cris de revenir sur le siècle à venir.



Une enfant me demande de penser à elle,

Tenir sa main pour demain,

Déjà aujourd’hui son regard ce presse,

Poussé par le temps instruit de mots,

Je lui raconte un historique pour ne pas oublier.



Entre mes mains une enfant,

Un regard à demain,

Sur les lignes d’une vie,

Je ne veux pas être en retard,

Pour elle en dépend une survie de bien-être.



NICOLLE Edmond le 22.10.11

http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.com/



















jeudi 20 octobre 2011

Emporter par un envol d'oiseaux

Emporter par un envol d’oiseaux




Des feuilles écrites à la main,

Dans un ciel de proses,

Chacun dans un voyage,

Chante un refrain nostalgique,

De passants d’un monde lyrique.



Dans un cabaret de chanteurs,

Les poètes jouent leurs accords,

D’un monde chimérique de sens,

Le cœur en amours débordants,

De passants d’un monde lyrique.



Emporter par un envol d’oiseaux,

Quelques feuilles plus hautaines que d’autre,

La poésie pour les gens seuls à leurs chevets,

D’une dissonance dans la solitude de la nuit,

De passants d’un monde lyrique.



Des poètes boiteux aux rimes incessants,

De galeries insoupçonnées à demain,

Leurs mots sans fin et sans injure,

Parjure contre d’un diable à contre-sens,

De passants d’un monde lyrique.



Je m’octroie ce langage,

Pour défendre ma cause,

D’un poète qui ne sera plus,

Un jour passent, qu’une mort,

De passants d’un monde lyrique.



NICOLLE Edmond le 20.10.11

http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.com/

mardi 18 octobre 2011

Un sourire, une fleur

Un sourire, une fleur




Une femme,

Une fleur,

Un sourire,

Une page se tourne,

L’amour en effrois.



Une fleur venue d’ailleurs,

Apporter son image,

Ses traditions,

Son amour au cœur,

Une fleur aux couleurs d’orient.



Je t’ai cherché,

Temps d’années en prières,

J’ai essuyés ma solitude,

Le cœur en remous,

Je t’ai aimé.



Une fleur,

Une femme,

Tu es une fleur du temps,

Venir à tes pieds en douceur,

T’aimer par un sourire.



Tes pétales sont le probe d’un avenir,

Un savoir acquis avant le nôtre,

Une fleur, une fleuraison, un amour,

Douce entre nos mains,

Tes caresses dans les yeux.



Un Bonjour, un passage dans l’escalier,

Un sourire pour ma journée,

Une discussion, un lien, une amitié,

Une fleur masculine s’éveille en moi,

Bonne journée à toi fleur d’orient.



NICOLLE Edmond le 19.10.11

http://edmondnicolle.wordpress.com/









samedi 15 octobre 2011

Plus près des étoiles je m'en vais

Plus près des étoiles je m’en vais


(Testament d’une vie)



Doucement vers ce ciel,

Mes pas montent pour une éternité,

Mes yeux sur un regard,

Un visage déjà vu,

Entre tes mains, mes prières,

Plus près des étoiles, je m’en vais.



Je ne compte plus mes jours,

Loin dans un ciel de nuage,

J’ai passé le cap des âges,

Celui de porter ma vie à lui,

Entre tes mains mes prières,

Plus près des étoiles, je m’en vais.



Je suis avec lui,

Mon âme plus légère,

Tu m’as soigné à tous les temps,

Dans les ténèbres tu m’as relevé,

Entre tes mains, mes prières,

Plus près des étoiles, je m’en vais.



Je ne veux plus rien d’autre,

Que des années en douceur,

Ce que tu me laisseras avant mon départ,

Ton amour en partage,

Entre tes mains, mes prières,

Plus près des étoiles, je m’en vais.



Dans le silence d’un ciel,

Mon chemin devient cour,

Plus près de toi, mon âme,

Le cœur en cessât de tes lois,

Entre tes mains, mes prières,

Plus près des étoiles, je m’en vais.



NICOLLE Edmond le 16.10.11

http://edmondnicolle.wordpress.com/

jeudi 13 octobre 2011

Train des étoiles / train des poètes

Train des étoiles


Train des poètes



S’en vont les proses,

Les poètes inconnus,

Sur les étoiles de la nuit,

Chanter leurs allégories,

Les semeurs de la nuit.



Dans un silence de la nuit,

Griffonné un parchemin,

Un dictionnaire d’une vie,

Rejoindre les lignes des étoiles,

La substance d’une muse.



Train des étoiles,

Train des poètes,

Train de la vie,

Train de la mort,

Ils s’en vont unis.



L’amour les attend,

L’écriture, leur foi,

Sceller les astres de mots,

Un champ de poésies,

La planète des messagers.



Ils sont venus de partout,

Naître ce lien,

Les poètes inconnus,

L’âme remplies d’oraisons,

Le cœur en diapason.



Dans la nuit des silences,

Seule l’épitaphe à l’encre noire,

Nait aux étoiles du firmament,

Le poète au long voyage éternel,

Un écrin remplie d’un trésor.



NICOLLE Edmond le 14.10.11

http://edmondnicolle.wordpress.com/















Courir n'a plus de sens

Courir n’a plus de sens




Je batifole le temps,

Sur des feuilles je peins,

Le temps est mon passeport,

Le visage ridé des années,

Je peins le temps,

Le temps qui me reste.



Dans ma tête une liberté de sens,

Je décors mon passé architecturale,

Une vie en attentes d’un style,

Se combine un nouveau regard,

Je peins le temps,

Le temps qui me reste.



Je ressemble mon texte,

Lu pour être corrigé à ma texture,

Les couleurs imaginées du pinceau,

Donner vie à ce fragment du passé,

Je peins le temps,

Le temps qui me reste.



Je lutine ce texte,

Je batifole mon image,

Un mariage des sens,

Un texte, un portrait,

Je peins le temps,

Le temps qui me reste.



Courir n’a plus de sens,

Je vague l’âme à tous sens,

Une effigie, une signature,

Juste cela,

Je peins le temps,

Le temps qui me reste.



NICOLLE Edmond le 13.10.11

http://edmondnicolle.wordpress.com/













samedi 8 octobre 2011

Seul aux étoiles

Seul aux étoiles




Une douce musique m’emporte,

Sur des airs de rêves imaginés,

Des chansons que j’ai oubliées,

Le souvenir ne me rappelant-pas,

Sur les matins effacés aux temps.



Je me noie sur le rythme,

M’envoûtant dans leurs étoiles,

Je voudrais éternelle cette nuit,

J’y voie des couleurs étincelantes,

Une jeunesse éternelle à mes larmes.



Oh vient ne me laisse pas seul,

Cet instant au ciel de lumière,

Vient dans mon cœur d’enfant,

Illuminé mes espoirs d’un enfant,

Oh je danse dans les corrals d’un ciel.



Une chorégraphie à me faire trembler,

Un enfant oubliant ses souvenirs,

Je cours sur les chemins nostalgiques,

Une lune, mon chemin des accords,

Emporte-moi douce musique de ma nuit.



Je reste sur mon clavier,

Je note comme sur un piano,

La note noire et blanche d’un ordinateur,

Mon souffle à ma liberté d’un ciel étoilé,

Je cours dans cet espace d’un instant.



Laisse-moi ce temps,

Un ciel pour ma nuit,

Une musique m’emportant,

Le cœur en rêve de mélodies,

Mon cœur aux étoiles.



NICOLLE Edmond le 9.10.11

http://edmondnicolle.wordpress.com/



mercredi 5 octobre 2011

L'amour est un voleur d'âme

L’amour est un voleur d’âme




Si on n’y prend pas garde,

Elle vous tue par ses mots,

Une diablesse dans les profondeurs,

Vole votre cœur faible d’aimer,

L’amour est un voleur d’âme,

Que si l’on se perd,

L’on n’a tout perdu.



Barricade des mots,

Brutalité des sens,

Je ne veux pas t’entendre,

L’amour en pleurs,

L’amour est un voleur d’âme,

Que si l’on se perd,

L’on n’a tout perdu.



Retourne d’où tu viens,

Mon amour est déjà pris,

Au bonheur acquit,

Il est trop tard pour m’aimer,

L’amour est un voleur d’âme,

Que si l’on se perd,

L’on n’a tout perdu.



Protège-moi au Dieu,

Toi qui chemine mes chemins,

Soit toujours l’aiguillons du bonheur,

Mon cœur à celle que j’aime,

L’amour est un voleur d’âme,

Que si l’on se perd,

L’on n’a tout perdu.



J’entends une voie qui pleure,

Celle de la destruction d’aimer à l’amour,

Une diablesse contrepartie,

Je force mes mots pour barrage,

L’amour est un voleur d’âme,

Que si l’on se perd,

L’on n’a tout perdu.



NICOLLE Edmond le 6.10.11