Emporter par un envol d’oiseaux
Des feuilles écrites à la main,
Dans un ciel de proses,
Chacun dans un voyage,
Chante un refrain nostalgique,
De passants d’un monde lyrique.
Dans un cabaret de chanteurs,
Les poètes jouent leurs accords,
D’un monde chimérique de sens,
Le cœur en amours débordants,
De passants d’un monde lyrique.
Emporter par un envol d’oiseaux,
Quelques feuilles plus hautaines que d’autre,
La poésie pour les gens seuls à leurs chevets,
D’une dissonance dans la solitude de la nuit,
De passants d’un monde lyrique.
Des poètes boiteux aux rimes incessants,
De galeries insoupçonnées à demain,
Leurs mots sans fin et sans injure,
Parjure contre d’un diable à contre-sens,
De passants d’un monde lyrique.
Je m’octroie ce langage,
Pour défendre ma cause,
D’un poète qui ne sera plus,
Un jour passent, qu’une mort,
De passants d’un monde lyrique.
NICOLLE Edmond le 20.10.11
http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.com/
Des feuilles écrites à la main,
Dans un ciel de proses,
Chacun dans un voyage,
Chante un refrain nostalgique,
De passants d’un monde lyrique.
Dans un cabaret de chanteurs,
Les poètes jouent leurs accords,
D’un monde chimérique de sens,
Le cœur en amours débordants,
De passants d’un monde lyrique.
Emporter par un envol d’oiseaux,
Quelques feuilles plus hautaines que d’autre,
La poésie pour les gens seuls à leurs chevets,
D’une dissonance dans la solitude de la nuit,
De passants d’un monde lyrique.
Des poètes boiteux aux rimes incessants,
De galeries insoupçonnées à demain,
Leurs mots sans fin et sans injure,
Parjure contre d’un diable à contre-sens,
De passants d’un monde lyrique.
Je m’octroie ce langage,
Pour défendre ma cause,
D’un poète qui ne sera plus,
Un jour passent, qu’une mort,
De passants d’un monde lyrique.
NICOLLE Edmond le 20.10.11
http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.com/
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