Ma vie sur une plume poétique
Une muse m’a
vie,
J’ai couru
bien des lignes,
Entre amour
et solitude,
Un chemin
vers une liberté,
Une vie sur
des lignes errantes,
Ma vie sur
une plume poétique.
J’ai aimé
sans-contre façon l’amour,
L’amour
devenu des lignes à ma suite,
J’ai dessiné
les couleurs de ma vie en lettres,
Du noir et
du rouge écrit à des pages à vous,
Une
révolution de mon corps libéré des atouts,
Ma vie sur
une plume poétique.
Aux amantes secrètes
sur mes lignes,
Coucher sur
leurs mots, mes écrits,
J’ai fait
l’amour en révolution à mon corps
Mes lignes
étant mon mariage de proses,
Mon corps déshabillé
en elles,
Ma vie sur
une plume poétique.
Je finirais
seul d’avoir tant écrit de vers,
Mon amour
étant à une muse, mon lien,
Loin de
vous, mes mots en solitaires,
L’amour
devenu des sentiments écrits,
Mon corps en
désillusion d’aimer à vous,
Ma vie sur
une plume poétique.
Ma vie
devenue ce poète aux années,
Distance entre
vous est moi en lignes,
Sentiments
égarés mainte fois reconduite,
Un enfant
qui n’a pas su croître à vos mots,
Mille fois
dite en pardon à vos sens,
Ma vie sur
une plume poétique.
Je suis en
cette muse,
Ma vie en
elle,
Seul désir
écrire des proses insuffisantes,
Solitaire
devenu, entre ses mains, ma vie,
Une plume,
sa pensée écrite.
Edmond
NICOLLE
Le 08.09.2016
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n°
2275
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