Les blessures sur les chemins du cœur (A une amie)
Les blessures sur les chemins du cœur,
Aux douleurs du passé te transportent,
D’un ciel grisonnent à ton âme,
Quelques gouttes de pleures sur tes joues,
Tu fuis le temps des sarcasmes prolongés.
Tu tapes sur un clavier un semblant d’échanges,
Derrière toi la solitude demeurent à tes nuits,
Le jour une fille restant une enfant aux passés,
Des montagnes de frappes cours sur des chemins irréels,
Ton cœur un semblant d’aimer à ce jour.
Je ne peux accéder à ta violence de mots,
Moi-même un jour à cette révolte,
Le temps m’a oblitéré à terrer mes blessures,
Mon âme sur des voies de secours,
Mes blessures dans mon corps laissent une cicatrice.
Écris-moi ta liberté,
Que nous soyons fous à demain,
D’écrire la folie d’un autre monde,
Celui qui nous appartient aux rêves imaginés,
Un seul instant avant de mourir dans un feu d’incroyants.
Vient avec moi sécher le temps des pleures,
Ensembles réchauffer nos espoirs,
Vient que la folie nous emporte à d’autres horizons,
Chanter pour soigner les lendemains incertains,
D’un monde qui n’est pas le nôtre.
NICOLLE Edmond le 24.01.11
Aux douleurs du passé te transportent,
D’un ciel grisonnent à ton âme,
Quelques gouttes de pleures sur tes joues,
Tu fuis le temps des sarcasmes prolongés.
Tu tapes sur un clavier un semblant d’échanges,
Derrière toi la solitude demeurent à tes nuits,
Le jour une fille restant une enfant aux passés,
Des montagnes de frappes cours sur des chemins irréels,
Ton cœur un semblant d’aimer à ce jour.
Je ne peux accéder à ta violence de mots,
Moi-même un jour à cette révolte,
Le temps m’a oblitéré à terrer mes blessures,
Mon âme sur des voies de secours,
Mes blessures dans mon corps laissent une cicatrice.
Écris-moi ta liberté,
Que nous soyons fous à demain,
D’écrire la folie d’un autre monde,
Celui qui nous appartient aux rêves imaginés,
Un seul instant avant de mourir dans un feu d’incroyants.
Vient avec moi sécher le temps des pleures,
Ensembles réchauffer nos espoirs,
Vient que la folie nous emporte à d’autres horizons,
Chanter pour soigner les lendemains incertains,
D’un monde qui n’est pas le nôtre.
NICOLLE Edmond le 24.01.11
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