Le ciel sera ma maison
éternelle
Je retrouverais l’amour
suprême,
Une foule de gens heureux,
Je serai mort depuis
longtemps,
Je n’existe déjà plus ici
avec vous,
Dans la pénombre d’une nuit,
je partirais,
Le ciel sera ma maison
éternelle.
Vous m’avez jeté en pâture
du monde,
Un objet que l’on joue avant
des pleure,
Sortie d’un ventre de haines
sans nom,
Je n’ai pas d’âge, je suis
ce clandestin,
Dans la pénombre d’une nuit,
je partirais,
Le ciel sera ma maison
éternelle.
Je ne suis pas l’ami de
vous,
Qu’un rêve qui me passe par
la tête,
Vous aimez sans savoir qui
vous êtes !
Mon ennemi est celui qui m’a
montré cet ami,
Dans la pénombre d’une nuit,
je partirais,
Le ciel sera ma maison
éternelle.
Je suis le clown d’une vie,
Derrière mon empreinte, une
infidélité,
Le corps ouvert d’abus d’un diable,
Tellement de cris étouffer
dans la nuit,
Dans la pénombre d’une nuit,
je partirais,
Le ciel sera ma maison
éternelle.
J’attends ce jour depuis
toujours,
Une main sera celui des
anges,
Un ciel pour l’éternité, autant
de pardons
de prières tant élevées au
ciel à mes pleurent,
Dans la pénombre d’une nuit,
je partirais,
Le ciel sera ma maison
éternelle.
NICOLLE Edmond le 10.11.2014
Créateur de poésies depuis 1973
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