Ma vie est une longue
histoire
Les pages ne suffisent pas à vous dire.
Je ne sais pas où je suis actuellement.
Je tourne avec temps, cent ans à prévoir.
Comme le temps qui fuit encore.
Je ne reconnais plus le temps.
Mon corps n'a plus de jeunesse.
Je fuis le jour qui passe à mes âges.
La mort m'échappe encore un an plus.
J'ai des amis (e) ils sont partis un jour,
Je cherche encore ce qui m’accroche.
Loin des mots, un silence incessant,
Mon regard dans un ciel sans visage.
Les pages ne suffisent pas à vous dire.
Je ne sais pas où je suis actuellement.
Je tourne avec temps, cent ans à prévoir.
Comme le temps qui fuit encore.
Je ne reconnais plus le temps.
Mon corps n'a plus de jeunesse.
Je fuis le jour qui passe à mes âges.
La mort m'échappe encore un an plus.
J'ai des amis (e) ils sont partis un jour,
Je cherche encore ce qui m’accroche.
Loin des mots, un silence incessant,
Mon regard dans un ciel sans visage.
Je cherche le ton, l’amour.
Un chuchotement à des lèvres,
Des mots qui deviennent fous,
Je briserais un jour ce miroir flou.
Ma vie en dédale de mots,
Un livre qui n’en finit plus aux mots,
Une plume qui m’échappe entre des doigts,
Une liberté que je
cherche à moi à en finir.
Edmond Nicolle
Le 22.12.2018
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n°2741
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