Imprégnation de lettres à mon corps
Je ne peux
me passer de lettres,
Ma liberté d’exister
à la poésie,
Ma façon de
vivre loin d’une existence,
Le mal intentionné
à mon corps.
Pris dans un
engrenage de lettres,
Imprégnation
de lettres à mon corps,
Un corps qui
ressemble à un visage de proses,
Loin de vous
à des mots d’une muse.
Mon sang
enrobé de mots volcaniques,
Condamné mépris
souverains,
Mes mots
sont ma liberté entière,
Je suis condamné
à une expression.
Pris dans un
engrenage de lettres,
Imprégnation
de lettres à mon corps,
Un corps qui
ressemble à un visage de proses,
Loin de vous
à des mots d’une muse.
Je ne suis soumis
qu’à moi,
Je suis déjà
bien loin de vous,
Votre regard
me semble distancé,
Le temps me
souffle aux avantages solitudes.
Pris dans un
engrenage de lettres,
Imprégnation
de lettres à mon corps,
Un corps qui
ressemble à un visage de proses,
Loin de vous
à des mots d’une muse.
Mon destin
et déjà prédestiné,
Alcoolisé philosophiquement
de lettres,
Mon corps imprégné
à une égérie de mots,
Une soif
constante d’idéologie sensationnelle.
Pris dans un
engrenage de lettres,
Imprégnation
de lettres à mon corps,
Un corps qui
ressemble à un visage de proses,
Loin de vous
à mes mots d’une muse.
Je ne sais
pas vous aimer dans l’ordre d’une vie,
Ma vie, ce
passe entre le silence et les accords poétiques,
Nostalgie dans
les chansons d’un corps surpassé de propos,
Un chemin
aux destins indifférant de langages.
Pris dans un
engrenage de lettres,
Imprégnation
de lettres à mon corps,
Un corps qui
ressemble à un visage de proses,
Loin de vous
à mes mots d’une muse.
Je ne sais
plus aimer ainsi,
Mon corps se
distançant davantage,
Mes mots
devenus un accord de lettres,
Comment vous
dire, je t’aime sans lettre ?
Pris dans un
engrenage de lettres,
Imprégnation
de lettres à mon corps,
Un corps qui
ressemble à un visage de proses,
Loin de vous
à mes mots d’une muse.
Edmond
NICOLLE
Le 22.12.2015
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n° 2087
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