Tu n’es plus la même
Un air frais
sur tes murs,
Oublier le
temps noir,
D’une fumée
sortir de tes remparts,
Le monde à
changer,
Il ne reste que
des souvenirs,
Des blessures
cachées dans la vieillesse,
Tu n’es plus
la même
Ma muse s’étant
installée dans tes murs,
Mon cœur sur
ton ancre de repos.
Un port, une
ville, une foi,
On t’appelle
Le Havre,
Refuge de
toutes les âmes,
Le cœur remplie
de souvenirs,
Les paquebots
en escales,
Les marins se
réchauffant à ta nuit,
Tu n’es plus
la même.
Ma muse s’étant
installée dans tes murs,
Mon cœur sur
ton ancre de repos.
J’écrirais
encore sur tes murs en papier,
Le souffle d’une
brise effaçant les pleurs,
Une corne
de brume à l’aube,
Un voyage
pour des marins,
Une lame caressant
ceux resté sur une digue,
De voyageurs
curieux d’histoires, nostalgie d’un temps,
Tu n’es plus
la même,
Ma muse s’étant
installée dans tes murs,
Mon cœur sur
ton ancre de repos.
Doucement te
réveillant aux aurores,
Mes pas sur
tes traces,
À de ruelles
sinueuses de passants,
Mon regard tourné
vers cette baie,
Le bruit des
roulis claquant au vent,
Le matin
entendant un appel vers les embruns,
Tu n’es plus
la même,
Ma muse s’étant
installée dans tes murs,
Mon cœur sur
ton ancre de repos.
Mon cœur et
entre mes lignes et une Dame,
Une amitié forgée
au fil des marées du temps,
Une Dame qui
perdure l’histoire aux grandes Dames,
L’amour
entre les mains d’habitants aventureux,
Le destin d’une
âme sur une anse d’un port,
Où le temps
ne compte plus dans ses pas,
Tu n’es plus
la même,
Ma muse s’étant
installée dans tes murs,
Mon cœur sur
ton ancre de repos.
Edmond
NICOLLE
Le 13.12.2015
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n° 2078
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