Moment de poésie
Un monde à
part,
Détente du
corps,
Filé les perceptions,
Oublier le
temps d’hier,
Effacé, les
mots.
Poète
s’effaçant doucement,
Ces lignes
dans un ciel de douceur,
Comme un
oiseau envolé en grâce,
Aux ailes
légères en vent de plénitudes,
Le temps
devenu au poète, une muse en grâce.
Ne plus rien
émettre à l’encre à l’instant,
Une muse
veillant en silence une âme d’un poète,
Un couple
soudé dans un ciel de silence de lignes,
Une égérie
de poésies s’envolant dans un ciel sans retour,
Un ciel
bloquant un couple en mots.
Le poète n’a
plus de saisons,
Le temps et
à chaque jour ces mots,
N’est plus
en couple à la vie du monde,
Doucement
s’espaçant de sa chair,
Une solitude
gagnante en espace d’une muse.
Poète sur une rive silencieuse de proses,
Une muse le
dirigeant sur ses rivages du temps,
Le poète agrée
de poésies en des voyages sans fin,
Entre ses
mains, une muse le conduisant vers un ciel de grâce,
Loin des
remous d’une terre brûlante de mots pesants.
Le poète
doucement, s’en va à ses lignes,
Chaque jour,
en des mots philanthropes,
Une muse l’enlevant
toujours plus loin,
À
l’égard de pensée altruistes,
Un monde qui
déjà s’en écartant de son égérie.
Edmond
NICOLLE
Le
20.04.2016
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n°
2187
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