Je ne vais pas lui manquer au texte d’aimer
La raison
est plus forte que l’amour,
Dans un
ciel faussement éclairer,
L’amour est
passé un jour déraisonnable,
Impulsion sordide
de phases massées,
Je ne vais
pas lui manquer au texte d’aimer,
Mon imparfait
de poète.
Sordide
sont les mots imaginés,
Je tangue
sur un récif argileux,
Ma profondeur
est mes lignes,
Une submersion
de mots vertigineux,
Je ne vais
pas lui manquer au texte d’aimer,
Mon imparfait
de poète.
Je t’aime,
je t’aime plus ici,
Ma poésie
faille de mots,
Toujours plus
grand d’incertitudes,
Aimer comme
un vent d’un soir,
Je ne vais
pas lui manquer au texte d’aimer,
Mon imparfait
de poète.
Je n’ai pas
de regard que des mots d’aimer,
Impuissante
et ma faiblesse d’âme,
Je tomberais
à genou sur une muse imparfaite,
Des lignes
dans l’oublie du temps à elle,
Je ne vais
pas lui manquer au texte d’aimer,
Mon imparfait
de poète.
Mes sens
sont cabriole de poésies,
Je t’aime,
je t’aimerais plus,
Une muse,
mon envol de poésies,
Je ne me
coucherais pas avant l’aube,
Je ne vais
pas lui manquer au texte d’aimer,
Mon imparfait
de poète.
NICOLLE
Edmond le 7.09.2012
http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.fr/
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