Les mots dans mon silence cognent
dans ma tête
Je n’ai pas
su entendre ce souffle,
Qu’un vent me
dire, je t’aime,
Instant si fragile,
instant insaisissable,
Un bâton qui me cogne la tête encore,
Tu ne fais
pas bien d’écrire des notes.
Les mots
dans mon silence cognent dans ma tête,
Partir encore
sur le chemin de la vie à mes nuits solitaires,
Mes jours passent
à me regarder sur un miroir invisible,
Sur ce
chemin de tant d’idées à l’amour imparfait,
L’amour passant
à chercher mon identité dans la foule.
Je voudrais
me déshabiller de mon histoire,
Mon corps de
tant de fantasmes imprégnés,
Tant d’amours
passés derrière des jouissances,
Des amours
de tant de citations amoureuses,
Des pensées
sur des papiers couleurs, je t’aime.
Les mots
dans mon silence cognent dans ma tête,
Partir encore
sur le chemin de la vie à mes nuits solitaires,
Mes jours passent
à me regarder sur un miroir invisible,
Le silence
sur ce chemin de tant d’idées à l’amour imparfait,
L’amour passant
à chercher mon identité dans la foule.
Je ne sais
pas encore à me découvrir à une femme,
Mes mains
sont si fragiles à une rencontre inattendue,
Peut-être m’aidera-t-elle
encore à mes silences !
Mes lignes
sont trop difficiles à interpeller à ma raison,
Fuir loin du monde, rire de tout, rire de moi
ce que je suis.
Les mots
dans mon silence cognent dans ma tête,
Partir encore
sur le chemin de la vie à mes nuits solitaires,
Mes jours passent
à me regarder sur un miroir invisible,
Le silence
sur ce chemin de tant d’idées à l’amour imparfait,
L’amour passant
à chercher mon identité dans la foule.
Je voudrais
aimer comme l’amour qui espiègle ma pensée,
Un amour qui
fuit quand j’ai tout partagé de mon corps,
Une raison d’un
amour fuyant toujours à cette vie,
Que le temps
fuyant les couples pour des amants d’une nuit,
Le temps n’est
pas adapté pour les amours rêveurs.
Les mots
dans mon silence cognent dans ma tête,
Partir encore
sur le chemin de la vie à mes nuits solitaires,
Mes jours passent
à me regarder sur un miroir invisible,
Sur ce
chemin de tant d’idées à l’amour imparfait,
L’amour passant
à chercher mon identité dans la foule.
Amour ambigu,
amour qui fuit le temps,
Une raison
qui me fuit en absence continue,
Une route indéterminable,
seul sans personne,
Des mots
devenant des silences sur des lignes,
Surdité de
la vie, un vent passant pour chasser les mots.
Les mots
dans mon silence cognent dans ma tête,
Partir encore
sur le chemin de la vie à mes nuits solitaires,
Mes jours passent
à me regarder sur un miroir invisible,
Sur ce
chemin de tant d’idées à l’amour imparfait,
L’amour passant
à chercher mon identité dans la foule.
Edmond
NICOLLE
Le 23.08.2016
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n°
2261
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