Je reviendrai bientôt te revoir
Mon cœur est
mon âme vers toi,
Celle que j’ai
découverte à ma vie,
Refaire le
temps des amours déjà loin,
Entre tes
bras, la douceur de mes mots.
Je reviendrai
bientôt te revoir,
Rien n’est
fini pour nous, si tu désires de moi encore,
Ensemble, nous
irons contre des vents contraires,
Nous irons
vaguer sur des rivages secrets.
Sans cris n’y
révolte,
J’ai besoin
de toi,
Mon amour t’appelle,
Une nuit, un
jour pour nous.
Je reviendrai
bientôt te revoir,
Rien n’est
fini pour nous, si tu désires de moi encore,
Ensemble, nous
irons contre des vents contraires,
Nous irons
vaguer sur des rivages secrets.
Mes mains
ont besoin de toi,
Nous ferons
l’amour sans penser à autres choses,
Nous sentir
libres de nous aimer,
Ensemble renaitre
un amour nouveau.
Je reviendrai
bientôt te revoir,
Rien n’est
fini pour nous, si tu désires de moi encore,
Ensemble, nous
irons contre des vents contraires,
Nous irons
vaguer sur des rivages secrets.
Je sais que
tu penses à nous,
Ton regard
me suit chaque jour,
Nos cœurs restant
seuls à nos nuits,
Je saurais
me faire taire de nos récits.
Je reviendrai
bientôt te revoir,
Rien n’est
fini pour nous, si tu désires de moi encore,
Ensemble, nous
irons contre des vents contraires,
Nous irons
vaguer sur des rivages secrets.
Je ne suis
pas celui venu des rêves,
Non, je suis
seulement celui qui te cherche,
Un amour indéfinissable
entre nous,
Un amour
déjà marqué de souvenirs.
Je reviendrai
bientôt te revoir,
Rien n’est
fini pour nous, si tu désires de moi encore,
Ensemble, nous
irons contre des vents contraires,
Nous irons
vaguer sur des rivages secrets.
Rien est
personne ne me fera changer,
J’ai une vie
déjà bien longue à des marées troublantes,
Ma vie sur
une quille d’une coque instable aux amours,
Des mots-dits
en pansent, ne peuvent plus rien.
Je reviendrai
bientôt te revoir,
Rien n’est
fini pour nous, si tu désires de moi encore,
Ensemble, nous
irons contre des vents contraires,
Nous irons
vaguer sur des rivages secrets.
Edmond
NICOLLE
Le 26.08.2016
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n°
2264
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire