La vie sans amour
J’ai froid
L’amour
s’effaçant à ma vie,
Le cœur
devenant en prières,
Mes forces
s’affaiblissent aux saisons,
Je prie le
ciel d’y résoudre.
J’ai froid,
L’amour
s’échappant ainsi à mon être,
Entre mes
mains, une absence devenue ma solitude,
Des mots qui
ne me touchant plus à ce jour.
Mon regard,
se tournant à l’inquiétude,
Mon corps
qui appelle encore aux désirs,
Un sursis
coulant dans mes veines une attente,
Une attraction de deux corps en désirs.
J’ai froid,
L’amour
s’échappant ainsi à mon être,
Entre mes
mains, une absence devenue ma solitude,
Des mots qui
ne me touchant plus à ce jour.
Serais-je eu
mal adroit à cet amour…
Comment
aimer quand le temps ce presse à ma vie,
De tourment aux
questions sans réponse,
L’amour
serait-il qu’un passage à ma vie…
J’ai froid,
L’amour
s’échappant ainsi à mon être,
Entre mes
mains, une absence devenue ma solitude,
Des mots qui
ne me touchant plus à ce jour.
J’ai froid à
cette plume,
Le temps
m’est devenu en suspend,
Mes nuits et
mes jours sont devenus des prières,
Entre mes
mains, une absence de l’amour.
J’ai froid,
L’amour
s’échappant ainsi à mon être,
Entre mes
mains, une absence devenue ma solitude,
Des mots qui
ne me touchant plus à ce jour.
J’écris le
temps,
Pour passer
le temps,
Mes lignes
devenant mon être,
J’attends
encore cette main, l’amour.
J’ai froid,
L’amour
s’échappant ainsi à mon être,
Entre mes
mains, une absence devenue ma solitude,
Des mots qui
ne me touchant plus à ce jour.
La vie sans
amour,
J’écris mes
mots pour que l’amour me lise,
Un amour
pour que je revive encore à mes lendemains,
L’amour qui m’ouvrira son cœur au mien.
J’ai froid,
L’amour
s’échappant ainsi à mon être,
Entre mes
mains, une absence devenue ma solitude,
Des mots qui
ne me touchant plus à ce jour.
Edmond
NICOLLE
Le
04.08.2016
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n°
2248
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