Mon amour filant comme des vents du
large
Je n’ai pas
su connaître l’amour,
Mes pensées
comme des vents,
Un souffle,
je ne veux pas entendre,
Je ne veux
plus de cet amour passent,
Un amour qui
n’est pas si réel à mon cœur
Mon amour
filant comme des vents du large,
Mon cœur fuyant
cette prison des semblants d’aimer.
Mon amour
est aux voyages,
Chercher ce
que mon cœur à besoin,
Un regard
comme le mien à des silences,
Faire l’amour
comme des tempêtes du large,
Nul besoin
de se faire mal en mots,
Mon amour filant
comme des vents du large,
Mon cœur fuyant
cette prison des semblants d’aimer.
Laisse-moi ciel
découvrir cet amour,
Tu m’as tant
fait découvrir tes mots pour un amour,
Aujourd’hui,
mon chemin est encore à des voyages,
Un amour sur
des lèvres à une femme,
Une femme
sur un destin semblable aux amours,
Mon amour
filant comme des vents du large,
Mon cœur fuyant
cette prison des semblants d’aimer.
Mon regard se
tourne vers cet horizon d’un amour,
Mon cœur fuyant
les bruits qui me font mal d’aimer,
L’amour insaisissable,
ma solitude aux affections,
Mon corps
devenant une fuite à un amour,
Je voudrais trouver
l’amour, ce que le ciel m’a tant proclamé,
Mon amour
filant comme des vents du large,
Mon cœur fuyant
cette prison des semblants d’aimer.
Trouver l’amour,
Comme un
vent qui nous caresse par son souffle,
Mes mains tendrement
sur un amour tendre,
Une femme
entre mes bras à ma nuit,
Vivre comme
ce vent des marées à nos pas,
Mon amour
filant comme des vents du large,
Mon cœur fuyant
cette prison des semblants d’aimer.
Edmond
NICOLLE
Le 04.08.2016
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n°
2249
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire