Mon amie, mon amante, ma confidente
Je t’aimerais
dans mon éternité,
Voile caché
de mon amour,
Mon amour au
tien sur tes mains,
À des jours
en dérobé d’un amour naissant,
Liberté d’un
amour à toi.
Je t’aimerais
dans le silence,
Le regard remplaçant
les mots,
Liberté d’un
instant en fuite du temps,
Compromission
d’un amour déjà présent,
Près de toi,
un amour nouveau.
Longtemps, j’ai
attendu ce moment,
Dans l’ombre,
les jours passent sans un amour,
Sentiments
pour un amour abandonné,
Mon amour se
plongeant dans un naufrage sans issue,
Mes nuits à
des pensées nocturnes.
Je n’ose te
dire mon amour que j’ai vers toi,
Nos chemins
ont été tant bousculés à de faux espoirs,
Simplement te
dire, je t’aime sans contrefaçon autre,
Mon cœur avec
le tien, sur un chemin d’une amitié,
Une amitié
devenant un amour profond.
Sur un bout de
ligne, des amants devenus,
Dans les
silences du temps,
Aux
profondeurs d’un amour inapaisé,
Unissant mon
cœur à des espoirs d’un amour,
Un amour
devenant à toi, une réalité.
Mon amie,
mon amante,
Mes lignes
sont pour toi,
Une envolé de
mots sur ton cœur,
Un confident,
un ami, un amant,
Une prière élevée
vers toi.
Edmond
NICOLLE
Le 28.08.2016
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n°
2266
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