Le temps passe est mon cœur brûle avec
le temps
Les années
passent sans une pause,
J’ai beau
prier à un Dieu,
Je n’ai pas
le choix,
Le temps et
un chrono,
Derrière moi
les souvenirs s’effacent.
Le temps
passe est mon cœur brûle avec le temps,
J’écoute
cette musique qui me berce,
Le temps et
en arrêt à ma vie à cet instant,
L’amour est
déjà loin comme un vent qui a passé un jour,
Je clos mes
yeux pour mieux danser à mon corps.
Dans un coin
du monde, une femme,
Elle a joué
les mots extravagants,
J’ai levé
les barrières, je veux oublier sa trace,
Une femme,
un jour sur mes lignes,
Une femme en
diable de désirs.
Le temps
passe est mon cœur brûle avec le temps,
J’écoute
cette musique qui me berce,
Le temps et
en arrêt à ma vie à cet instant,
L’amour est
déjà loin comme un vent qui a passé un jour,
Je clos mes
yeux pour mieux danser à mon corps.
Je suis
devenu une ombre de lignes,
Une poésie
pour des cœurs amoureux,
Une histoire
comme tant d’autres on écrits
Sentiments sur
une plume amoureuse de l’amour,
L’amour en
perchoir d’un instant, d’une vie.
Le temps
passe est mon cœur brûle avec le temps,
J’écoute
cette musique qui me berce,
Le temps et
en arrêt à ma vie à cet instant,
L’amour est
déjà loin comme un vent qui a passé un jour,
Je clos mes
yeux pour mieux danser à mon corps.
Mes mots n’ont
plus de sens,
J’écris pour
passer le temps,
Mes souvenirs
s’envolent comme des poésies,
Une vie déjà
écrite dans les lignes d’un ciel,
Mourir un
jour en laissant mes mots sur une tombe.
Le temps
passe est mon cœur brûle avec le temps,
J’écoute
cette musique qui me berce,
Le temps et
en arrêt à ma vie à cet instant,
L’amour est
déjà loin comme un vent qui a passé un jour,
Je clos mes
yeux pour mieux danser à mon corps.
Aller, je me
berce dans cette musique,
Un rythme musical
dans mon corps,
Étouffant le
temps qui m’engrène chaque jour,
Aller musique
emporte-moi vers toi,
Mon corps au
rythme de ta musique.
Le temps
passe est mon cœur brûle avec le temps,
J’écoute
cette musique qui me berce,
Le temps et
en arrêt à ma vie à cet instant,
L’amour est
déjà loin comme un vent qui a passé un jour,
Je clos mes
yeux pour mieux danser à mon corps.
Edmond
NICOLLE
Le 27.06.2016
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n°
2230
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