Opiums, corps en alerte
Mon âme se
glisse dans vos corps,
L’amour qui
n’en finit pas à vos mots,
Vos mots en
silence dirigent mon espace,
Allumé ce
feu qui me prend à cet instant à vous,
Opiums, corps
en alerte.
Laissez-moi
sur mes lignes, vous écrire ces mots,
Mon corps suivant
mes doigts sur une encre tâchée,
Mes mots
tremblant de vous regarder, oh femmes,
Mon pouls
suintant un sang nouveau vers vous,
Opiums, corps
en alerte.
Je regarde
vos mains,
Le temps marqué sur vos lignes, d’un amour,
Votre voix
nous appelle à des sensualités,
Un cœur qui
chante, vient à mon être,
Opiums,
corps en alerte.
Opium dans
ma tête,
Tourne et
valse des mots sur du papier,
Je danse
comme un diable à vous,
Une femme
que j’attends n’arrivant plus,
Opiums, corps en alerte.
Je tourne
une page au matin,
Sans prière,
le temps passe à autre chose,
J’entends
une musique qui tourne en rond,
L’amour
toujours sur des lignes à mon corps,
Opiums,
corps en alerte.
Edmond
NICOLLE
Le 03.06.2016
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n°
2218
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