Réapprends-moi l’amour avec des mots
J’ai trop
longtemps désespéré à un amour,
Aujourd’hui,
je veux t’aimer avec mon cœur,
Un cœur qui déjà
longtemps sans amour,
Souvent, mon
cœur pleurait sans aimer à l’amour,
Te sentir,
te respirer, seul sur notre lit quelque part.
Réapprends-moi
l’amour avec des mots,
Doucement
dans la tendresse de tes mains,
Mon corps au
tien, peu importe notre âge,
Fermons le
temps derrière nous,
Je veux t’aimer
aussi simple que cela.
Je veux t’aimer
à ma folie,
Partir avec
toi dans les diapasons des corps,
T’aimer
aussi fort que l’amour nous appelle,
Sur mon
corps, le diaphragme de tes doigts agiles,
Caressant le
pourtour de ma chair.
Réapprends-moi
l’amour avec des mots,
Doucement
dans la tendresse de tes mains,
Mon corps au
tien, peu importe notre âge,
Fermons
notre porte derrière nous,
Je veux t’aimer
aussi simple que cela.
Vient vivre la
saison des amours,
Cette fleur seule
à notre cœur,
Notre amour
qui a besoin de refleurir du passé,
Dans le sang,
le fruit du suc arrosé pour grandir à la fleur,
Nous cachant
un instant aux interdits de l’amour.
Réapprends-moi
l’amour avec des mots,
Doucement
dans la tendresse de tes mains,
Mon corps au
tien, peu importe notre âge,
Fermons
notre porte derrière nous,
Je veux t’aimer
aussi simple que cela.
Nous apprendrons
ensemble les mots,
T’aimer avec
mes lèvres sur ton corps,
Chercher l’amour
caché à foison à nos corps,
Ensemble, nos
mains chercheront nos chemins,
De temps barricadé
passé sans amour.
Réapprends-moi
l’amour avec des mots,
Doucement,
dans la tendresse de tes mains,
Mon corps au
tien, peu importe notre âge,
Fermons
notre porte derrière nous,
Je veux t’aimer
aussi simple que cela.
Vient comme si
c’était une première fois,
Doucement nous
ferons l’amour sans bruit,
Juste un
instant à des souffles haletants de l’amour,
De petits
cris renforcés, nos corps en émulations,
L’amour en complaisance
à nos corps en heurts.
Réapprends-moi
l’amour avec des mots,
Doucement
dans la tendresse de tes mains,
Mon corps au
tien, peu importe notre âge,
Fermons
notre porte derrière nous,
Je veux t’aimer
aussi simple que cela.
Edmond
NICOLLE
Le 11.06.2016
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n°
2224
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