Un regard, une écriture,
Je chante pour toi, la liberté
Une muse placardée
sur les murs,
Les interdis
de mots,
Liberté de
sens emprisonné de chaînes,
Un regard,
une écriture,
Je chante
pour toi, la liberté,
Elle écrit
sur les murs repeints en blanc.
D’une ville
placardée de mots,
Solitude de
mots estropiés,
Le voile
intime étouffant de raisons,
Un regard,
une écriture,
Je chante
pour toi, la liberté,
Elle écrit
sur les murs repeints en blanc.
Solitude vieillie
sans vie,
Un monde délaissé
des quartiers sensibles,
Chassé d’expressions
policières de règles,
Un regard,
une écriture,
Je chante
pour toi, la liberté,
Elle écrit
sur les murs repeints en blanc.
Enfants délaissé
à une prière,
Démolir les
contradictions appliquées de loi,
Une peinture,
une agression en silence,
Un regard,
une peinture,
Je chante
pour toi, la liberté,
Elle écrit
sur les murs repeints en blanc.
Je chante
avec toi,
Entre mes
mains, une page, une loi, des chaînes,
Sur une
page, sur les murs, j’écris la raison,
Un regard,
une peinture,
Je chante
pour toi, la liberté,
Elle écrit
sur les murs repeints en blanc.
Le sang
coulera encore sur les lignes des murs,
Les murs
blanchis de salpêtres,
Les enfants
écriront encore la liberté,
Un regard,
une peinture,
Je chante
pour toi, la liberté,
Elle écrit
sur les murs repeints en blanc.
Je chante
pour toi, pour les enfants de quartier défavorisés.
NICOLLE
Edmond le 7.10.2012
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