Le temps s’en va et revient à l’amour
Je veux
mourir en silence,
Changé, mon
corps, mon âme pour un amour,
Être celui
pour celle qui m’attend
Doucement l’emmener
sans mots à des rivages,
Nos regards sourient
au vent trahissant.
Tout recommande,
Comme si le
temps n’était assez de souffrir,
Le temps
toujours le temps,
Cette chanson
qui n’en finissant jamais,
Mourir pour
des amours qui s’aiment encore.
Je veux
aimer un autre amour,
Celui qui
est dans mon cœur,
Une porte
ouverte pour un cœur,
Celle qui
force les barricades de mon corps,
Pour venir
me dire, je t’aime.
Tout recommande,
Comme si le
temps n’était assez de souffrir,
Le temps
toujours le temps,
Cette chanson
qui n’en finissant jamais,
Mourir pour
des amours qui s’aiment encore.
Je voudrais
tout refaire,
Effacer le
temps des souffrances,
Où personne
n’a su entendre mes cris,
De l’abondons
de mon corps et âme,
Mon cœur qui
a tant besoin de soins.
Tout recommande,
Comme si le
temps n’était assez de souffrir,
Le temps
toujours le temps,
Cette chanson
qui n’en finissant jamais,
Mourir pour
des amours qui s’aiment encore.
Je voudrais
m’abandonner entre des bras,
Ses bras qui
sont celle de l’amour,
Celle d’une
femme forte pour deux cœurs,
Recevoir ce
que j’ai perdu,
Où tout recommence
à naitre à l’amour.
Tout recommande,
Comme si le
temps n’était assez de souffrir,
Le temps
toujours le temps,
Cette chanson
qui n’en finissant jamais,
Mourir pour
des amours qui s’aiment encore.
Une femme
qui m’attend,
Une femme
qui sait de moi, mes faiblesses,
L’amour qui
fait mal et qui dure sur un cœur,
L’amour qui
est ancré à toujours à une femme,
Une femme
qui m’aime depuis longtemps.
Tout recommande,
Comme si le
temps n’était assez de souffrir,
Le temps
toujours le temps,
Cette chanson
qui n’en finissant jamais,
Mourir pour
des amours qui s’aiment encore.
Dans les
silences, se brûle un amour,
Deux amours
qui s’aiment maladroitement,
L’amour sur
des cœurs blessés au temps,
Se cherchent
encore, le cœur serré de s’aimer,
L’amour qui résonne,
je t’aime encore.
Tout recommande,
Comme si le
temps n’était assez de souffrir,
Le temps
toujours le temps,
Cette chanson
qui n’en finissant jamais,
Mourir pour
des amours qui s’aiment encore.
Nicolle
Edmond
Créateur de poésies depuis 1973
Créateur de poésies depuis 1973
http://www.blogger.com
Texte N°1987
Le 30.08.2015
Texte N°1987
Le 30.08.2015
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