Je n’ai toujours pas été et ne sera
pas de votre convenance
Je ne veux
pas l’être non plus à votre ressemblance,
J’écris la leçon
de mon historique sur des tablés,
Je ne suis
pas de correspondance,
Mes mots ressembles
à bien à des divergences écrire,
Je n’ai
toujours pas été et ne sera pas de votre convenance,
Je suis ce poète
dévergondé de mots italiques.
Je méprise
la fleur indolore sur l’oreiller,
De parfums négatifs
me montant à défaut,
Le soupir alitant
mes efforts du condamné,
Un brin de
soupir sur des amours outrepassés,
Je n’ai
toujours pas été et ne sera pas à votre convenance,
Je suis ce
poète dévergondé de mots italiques.
Je ne suis
pas réaliste sur cette terre immonde,
Me laissent
choir d’impunités d’hommes,
Ma condamnation
d’épreuves à celui qui me truste, un Dieu,
Une liberté
écrite de mouvements contemporains,
Je n’ai
toujours pas été et ne sera pas à votre convenance,
Je suis ce poète
dévergondé de mots italiques.
J’écris et
toujours plus loin ma liberté,
Le chemin s’y
ardu du poète dans le sens des mots,
Je ne peux retourner
à mes fins, car mes mots sont la suite d’indéfinie,
De mots construits
entre mes mains d’un éventail insoupçonné de textes,
Je n’ai
toujours pas été et ne sera pas à votre convenance,
Je suis ce
poète dévergondé de mots italiques.
NICOLLE
Edmond le 14.06.2012
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