Une vie, un baluchon pour un voyage
émincé
On peut aimer
dans l’inconscience,
Peut-être
ainsi la vie qui passe !
L’innocence
dans l’âme d’un enfant,
Une marche
toujours vers cette infinie,
Les mots en désordre
pour un amour,
Une vie, un
baluchon pour un voyage émincé.
Des
questions que l’on se pose,
Une vie qui passe
trop vite,
Chacun son flanc
de route,
Un câlin
pour oublier le temps,
Demain en de
nouvelles raisons,
Une vie, un
baluchon pour un voyage émincé.
S’aimer,
comme il est écrit sur des mots,
Fidèle où infidèle
avec le temps qui passe,
Mon âme à une
infinie recherche de l’amour,
Le temps de
l’amour, une image sur une croix,
Infidèle à l’amour !
Un baluchon sur une route,
Une vie, un
baluchon pour un voyage émincé.
Suis-je paré ?
Question que je me pose à la vie,
Un enfant resté
sur une ligne de départ,
Enfin un vagabond
de l’amour dans sa recherche,
Je pensais y
arriver, sentiments bâclés aux temps,
Une étreindre
et tout recommence à des questions,
Une vie, un
baluchon pour un voyage émincé.
Simplement, je
t’aime, début de sentiments en énonçassions,
Recommencer
la vie, celle où je n’ai pas fait assurance,
L’amour en
fusion, indétermination de la vie,
Sentiment égaré,
recherche d’un amour joint,
Cœurs fusionnés
aux aboutissants d’une essence unie,
Une vie, un baluchon
pour un voyage émincé.
Edmond
NICOLLE
Le 21.11.2015
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n° 2058
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