Regard silencieux, poétiquement posé
Une femme se
cache, mystérieuse,
Je suis son
pas dans ses quiétudes,
Un cri
venant de la nuit, son appel,
Doucement, la
tête courbée vers un horizon,
Regard silencieux,
poétiquement posé.
Je t’aimerais
poétiquement,
Mes lignes t’emporteront
à l’infini amour,
Notre infini souffle, se réveillant à des
douceurs,
Le cœur pansé
aux larmes d’une histoire,
Regard
silencieux, poétiquement posé.
Nous irons cacher
nos silences par de baisers,
Une vie déjà
dite, mainte fois sans écho,
Le temps a
tant soufflé nos peines vers une abrupte,
Les falaises
du cœur vidant les proies du destin,
Regard silencieux,
poétiquement posé.
Vient avec moi
chanter nos espérances,
Le cœur si
pressant d’un amour sûr,
Le temps fera
oublier nos moments prohibés de l’amour,
Dans un coin
du monde, des enfants restés inaudibles,
Regard silencieux,
poétiquement posé.
Nous irons
philosopher en mots,
Nos mots
tant soufferts d’impatience à l’amour,
Ton regard
sera mon accès à tes lèvres en prières,
Ensemble unis
pour un destin de lignes philanthropies,
Regard silencieux,
poétiquement posé.
Edmond
NICOLLE
Le 31.11.2015
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n° 2065
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