Un firmament me prêtant son harmonie
pour y demeurer
Doucement, chaque
jour, j’écris,
Un fils
invisible à mon âme,
Du soleil et
de la pluie à mon corps,
Je me repose
sur des diras tant dit,
Ma vie et
ainsi faite pour ressembler au temps,
Un firmament
me prêtant son harmonie pour y demeurer.
Un ciel qui
me veillant,
Je t’aimerais
jusqu’à mon dernier jour,
Je passe à côté
des cultures inhumaines,
Le chant de
la mort, ma fuite vers ce ciel,
Ma vie et
ainsi faite pour ressembler au temps,
Un firmament
me prêtant son harmonie pour y demeurer.
J’écris l’amour,
des lignes qui ne durent qu’un instant,
Des pleurs
que j’ai laissé mourir sur le macadam,
Je t’ai aimé,
tu m’as laissé sur un champ de la mort,
Un enfant qui
me suit ainsi sur un ciel en prière,
Ma vie et
ainsi faite pour ressembler au temps,
Un firmament
me prêtant son harmonie pour y demeurer.
Je ne ressemble
pas ainsi à vous,
Ma vie et un
mystère pour un ciel en éloges,
Vous ne
prendrez pas ma vie aux mots,
Je vous ai aimé,
vous n’avez pas eu tolérance à mon égard,
Ma vie et
ainsi faite pour ressembler au temps,
Un firmament
me prêtant son harmonie pour y demeurer.
Je suis ce
poète aux temps des poètes d’une vie,
Des lignes
sont un abstrait de mon âme en recul,
Une encre
tant coulée à d’indécentes poésies aux années,
Des lignes qui
chantent et qui pleurent à un Dieu,
Ma vie et
ainsi faite pour ressembler au temps,
Un firmament
me prêtant son harmonie pour y demeurer.
Edmond
NICOLLE
Le 26.11.2015
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n° 2061
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