Un nouveau monde né
Des cris des joies,
Mon cœur a changé,
Phénomène de société,
L’amour qui balance les corps,
Il plut, il fait soleil, le monde change.
Un nouveau monde né,
Oublier ma vie,
Oublier le temps,
Des pleurs et des rires,
La mort après la vie,
Des mots sur le macadam d’une vie.
La mort après la vie,
Docile, j’écoute sans rien faire,
Impuissant à la vie, me brise déjà l’âme,
Je pleure avant vous, vous partez déjà sans moi,
Il me reste un champ vide de ronce, mes pieds à des lettres.
Un nouveau monde né,
Oublier ma vie,
Oublier le temps,
Des pleurs et des rires,
La mort après la vie,
Des mots sur le macadam d’une vie.
Amis (e) ou ennemis(e) le temps est une parade,
Une histoire d’amour, une haine contre la solitude,
Je feuillette vos mots comme un souffle à votre vie,
Vous donnez force à tant de belles lignes poétiques,
Adroite où maladroite, vous pleurez sans finir vos lignes.
Un nouveau monde né,
Oublier ma vie,
Oublier le temps,
Des pleurs et des rires,
La mort après la vie,
Des mots sur le macadam d’une vie.
Je respire mes mots, déjà, j’en oublie le chemin,
Je passe et je recommence le temps, celui de demain,
Avant-gout d’un destin, demain, je ne sais pas ce qu’il me
restera,
Alors, j’écris des lettres pour passer le temps,
Transportant ma solitude, mon amie de toujours, ma poésie.
Un nouveau monde né,
Oublier ma vie,
Oublier le temps,
Des pleurs et des rires,
La mort après la vie,
Des mots sur le macadam d’une vie.
Edmond NICOLLE
Le 02.02.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2386
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