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samedi 2 septembre 2017

Monde infini


Monde infini

Monde se perd dans l’infini,
Un désordre de corps sur un lit,
Je t’aime, tu t’en vas ailleurs,
J’ai perdu mes repaires à l’amour.

Je coucherai mon regard vers vous,
Nous essuierons nos larmes une fois,
Je te connaîtrais dans tes bras à nos mots,
Le visage retourné de songes féministes.

Tendres, mes lèvres vers vous, seraient osées,
On ne se plaît pas ainsi dans ce monde,
Mon visage déjà aux années, ne brille plus,
Ne serais que mon corps, vous faire plaisir.

Nous ferons l’amour comme vous le dirais de faire,
Comme un ange où un diable dans votre couche,
Le temps ce glissant à la nuit de fougues altérée,
Un instant de liberté, une nuit pour un amour.

J’irais par votre corps, vous cherchez à vos nuits,
Respirer ce parfum inconnu de moi seul,
Puisse être deux dans les sillons de nos corps,
L’amour, cet instant immobilisé à nos sceaux.

Sortilège du sort, sortilège de l’amour,
Incohérence suppliciée d’appels en souffle,
L’amour entrain à nos corps abandonnés,
Les corps exaltés d’un parfum sur nos lèvres.

Je m’abandonne ainsi à vos lois,
Mon corps entrelacé à votre nuit,
Soupir d’un souffle altéré à nos lèvres,
Je me pénètre de votre corps, mon expiation.

Edmond NICOLLE
Le 02.09.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2499

Infinite World

World is lost in the infinite,
A body disorder on a bed,
I love you, you go elsewhere,
I lost my lairs to love.

I will lay my eyes on you,
We will wipe away our tears once,
I would know you in your arms at our words,
The face turned from feminist dreams.

Tender, my lips to you, would be dared,
We do not like this way in this world,
My face already years, no longer shines,
Would only be my body, make you happy.

We will make love as you would say to do,
Like an angel where a devil in your diaper,
The weather this slippery to the night of altered fers,
One moment of freedom, one night for a love.

I would go by your body, look for your nights,
Breathe this perfume unknown to me alone,
May be two in the furrows of our bodies,
Love, this moment immobilized to our seals.

Spell of the spell, spell of love,
Incomplete interference with breathless appeals,
Love goes to our abandoned bodies,
The exalted bodies of a perfume on our lips.

I abandon myself to your laws,
My body intertwined at your night,
Sigh of an altered breath to our lips,
I penetrate your body, my expiation.

Edmond NICOLLE
02.09.2017
Author is creator of poems since 1973
Text n ° 2499

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