Messages les plus consultés

mardi 27 février 2018

Oublier la vie, oublier le temps





(poésie du jour)


Oublier la vie, oublier le temps


Oublier le passé,
Oublier le temps,
Oublier les amours passés,
Oublier la vie.

Vivre cet instant,
Vivre à la folie,
Vivre à l’amour,
Vivre à oublier nos âges.

Danser comme tu sais le faire,
Danser sur un air de musique,
Danser pour des infinis printemps,
Danser pour des amours sans fin.

Chanter la terre,
Chanter la fleur,
Chanter le bourgeons naissant,
Chanter pour ton ami (e).

Aimer l’infini désir,
Aimer à ne plus être,
Aimer l’amour,
Aimer la désinvolture.

Embrasser ton corps,
Embrasser les interdits,
Embrasser tes yeux,
Embrasser la nuit.

Nu (e) sous la soie,
Nu (e) nos corps à la soie,
Nu (e) enlacées les corps,
Nue nos baisers en délicatesses.

La fleur à nos cœurs,
La fleur en bourgeon,
La fleur ouverte à l’amour,
La fleur aux multiples saisons.

L’amour nous attend à lui,
L’amour nous parlant en silence,
L’amour en des déraisons inconcevables,
L’amour, l’amour, tu es là à nous attendre.

Edmond NICOLLE
Le 27.02.2018
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2650



(poetry of the day)


Forget life, forget time


Forget the past,
Forget time,
Forgetting past loves,
Forget life.

Live this moment,
To live in madness,
Live to love,
Live to forget our ages.

Dance as you know how to do it,
Dancing on a music tune,
Dance for infinite spring,
Dance for endless loves.

Sing the earth,
Sing the flower,
Sing budding buds,
Sing for your friend.

Love the infinite desire,
Love to be no more,
Love love,
Love casually.

Kiss your body,
Kiss the forbidden ones,
Kiss your eyes,
Kiss at night.

Naked under the silk,
Nu (e) our silk bodies,
Naked (entwined) bodies,
Naked our kisses in delicacy.

The flower to our hearts,
The flower bud,
The flower open to love,
The flower with multiple seasons.

Love is waiting for him,
Love talking to us silently,
Love in inconceivable disappointments,
Love, love, you're here waiting for us.

Edmond NICOLLE
27.02.2018
Author is creator of poems since 1973
Text n ° 2650

Aucun commentaire: