(Poésie du jour)
Regards insipides
Représenté comme un
fou,
Le visage opale de
nuits blanches,
La nuit devenant
illusions,
L’amour étant objet
de luxure.
Je me couche à la nuit,
Une lumière apaisent
ma douleur,
Une fausse idée
ressortant d’un passé,
Le cauchemar d’un
corps surexcité.
Des mots verbaux
sortant de nulle part,
Mon corps en transe
d’une violation,
Je n’ai pas de mots,
mon écœurement,
Une ombre fuyant mon
visage en douleurs.
Sentiments d’amour
rejeté à une âme,
Le corps égrené de
souillures,
Regards insipides de
mon corps,
Rejetée de blessures
saignantes.
Une nuit blanche dans
un drap salit,
Sortant mon corps de
cette nuit,
Une ombre
disparaissant un temps,
Le diable étant le
compagnon à ses désirs.
Edmond
NICOLLE
Le
17.12.2017
Auteur
est créateur de poésies depuis 1973
Texte n°2604
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