Un jardin de violence

Un jardin de violence

Coule l’amour,

Impérissable d’âge,

Le ciel chargé d’étoiles,

Sur son cœur une vie,

L’amour dans le regard,

Une fleur nouvelle,

Dans un jardin de violence, son amour.

Le temps à changer son cœur,

Comme un passage à la violence,

L’amour est son destin,

Tant pis pour les regards,

Elle aime être surprise,

Une fleur nouvelle, le bourgeon,

Dans un jardin de violence, son amour.

Une fleur dans un jardin,

Elle crie à l’amour,

Ces tripes lui font mal,

Une fleur périssable d’âge,

N’y jeune, n’y vieille,

Le cœur ce tari sans lui,

Dans un jardin de violence, son amour.

Nous sommes ensemble sur les lignes,

L’amour est notre sujet,

Moi loin d’elle sur ma plume,

Elle si pressente d’aimer,

Ce confonde la relation d’un passé,

Elle et moi sur les lignes qui se croisent,

Dans un jardin de violence, son amour.

Une fleur à la senteur d’une femme,

Des désirs instances dans ses yeux,

Elle est amoureuse du temps,

Un amour si précieux dans les vaines,

Une sortie d’elle-même à son corps,

Elle voudrait aimer pour oublier le mal,

Dans un jardin de violence, son amour.

NICOLLE Edmond le 17.12.11

http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.com/