Derrière ta rue
Le masque de tes pleures
Il y a des chagrins,
Des pleurs cachés à la nuit,
Un masque de tes nuits,
La peur au ventre,
L’ennemi au coin de ta rue,
Derrière ta rue,
Le masque de tes pleures,
Le chagrin n’en fini pas de couler,
Le cœur blessé.
Le voyage n’en fini jamais,
Tu es tellement jeune,
Que ton cœur et déjà insipide,
Que la fuite et ton salut,
Un rêve bien vite ralentit,
Derrière ta rue,
Le masque de tes pleures,
Le chagrin n’en fini pas de couler,
Le cœur blessé.
Tu t’arrêtes pour souffler un peu,
Le temps de récupérer,
Regarder la vie ailleurs,
Dialoguer un peu de temps,
Tu marches dans le silence,
Derrière ta rue,
Le masque de tes pleures,
Le chagrin n’en fini pas de couler,
Le cœur blessé.
Tu viens et tu repars le cœur un peu plus léger,
D’espoirs de trouver les forces pour ta journée,
L’espoir d’être aimé encore,
D’un garçon pour accueillir ton cœur,
Penser tes blessures meurtries,
Derrière ta rue,
Le masque de tes pleures,
Le chagrin n’en fini pas de couler,
Le cœur blessé.
NICOLLE Edmond le 3.12.11
http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.com/
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire