(Poésie du jour)
Le temps
est un funambule
Je t’aime et tu disparais,
Sur des célestes voix des anges,
Le temps maudit sans soleil.
Tu meurs en solitude,
Le regard ailleurs, tu pleures,
L’amour en chagrin.
Je t’ai aimé bien des fois,
Un vent nous a chassés de nos solitudes,
On revient encore à prier le temps.
La tristesse, c’est décider à ton ciel,
Un temps gris à nos cœurs,
Remplir le fruit de l’amour en pluie.
Peut-on t’être pardonné un jour ?
À nos enfants laissées à tes maux,
Un déluge affecté de tes colères ressassant.
Couvre-toi ciel de nos carences,
Nous pleurerons la mort arrivée,
Devant un sépulcre, ton nom maudit.
Il fait froid ici,
Respirons la mort,
Prisonnier de lumières.
Il fait froid dans les cœurs,
L’amour se cache, prisonnier du temps,
Prisonnier d’aimer à tes contres-vents escarpés.
Je voudrais aimer encore,
Retrouver le parfum de la fleur,
Embellir l’amour à mon cœur.
Temps ne soit pas si dur avec moi,
J’attends une éclaircie du soleil, me réchauffer,
Découvrant ainsi le retour de l’amour à la fleur.
Edmond NICOLLE
Le 13.01.2018
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2624
Je t’aime et tu disparais,
Sur des célestes voix des anges,
Le temps maudit sans soleil.
Tu meurs en solitude,
Le regard ailleurs, tu pleures,
L’amour en chagrin.
Je t’ai aimé bien des fois,
Un vent nous a chassés de nos solitudes,
On revient encore à prier le temps.
La tristesse, c’est décider à ton ciel,
Un temps gris à nos cœurs,
Remplir le fruit de l’amour en pluie.
Peut-on t’être pardonné un jour ?
À nos enfants laissées à tes maux,
Un déluge affecté de tes colères ressassant.
Couvre-toi ciel de nos carences,
Nous pleurerons la mort arrivée,
Devant un sépulcre, ton nom maudit.
Il fait froid ici,
Respirons la mort,
Prisonnier de lumières.
Il fait froid dans les cœurs,
L’amour se cache, prisonnier du temps,
Prisonnier d’aimer à tes contres-vents escarpés.
Je voudrais aimer encore,
Retrouver le parfum de la fleur,
Embellir l’amour à mon cœur.
Temps ne soit pas si dur avec moi,
J’attends une éclaircie du soleil, me réchauffer,
Découvrant ainsi le retour de l’amour à la fleur.
Edmond NICOLLE
Le 13.01.2018
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2624
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