Je voudrais te serrer dans mes bras
Amour impossible,
Fuyant comme
un vent,
J’ai appris
à t’aimer comme cela,
Je t’aime et
je ne te dis pas.
Je voudrais
te serrer dans mes bras,
Un instant,
un seul instant à nous,
Mais l’amour
nous glissant entre nos mains,
Nos regards
fuyant l’impossible amour.
Je t’aime,
je ne peux pas te le dire,
Mon cœur s’échappant
avec le temps,
Une minute
dans ton regard et l’amour s’enfuit,
Le silence
me fait blessent encore sans toi à mes jours.
Je voudrais
te serrer dans mes bras,
Un instant,
un seul instant à nous,
Mais l’amour
nous glissant entre nos mains,
Nos regards
fuyant l’impossible amour.
Entre mes
mains que des lettres,
Une muse qui
jouant des mots en farandole,
Amour blessé,
me noient dans la limite du dramaturge,
Un livre qui
ne pourra jamais ce fermé à cette histoire.
Je voudrais
te serrer dans mes bras,
Un instant,
un seul instant à nous,
Mais l’amour
nous glissant entre nos mains,
Nos regards
fuyant l’impossible amour.
L’amour me
fuit, le cœur en déraison,
Je crie en
silence, mon amour pour un autre cœur,
Me battant chaque
fois dans un silence des interdits,
Le cœur ce
mourant chaque jour de ne pouvoir aimer plus.
Je voudrais
te serrer dans mes bras,
Un instant,
un seul instant à nous,
Mais l’amour
nous glissant entre nos mains,
Nos regards
fuyant l’impossible amour.
Edmond
NICOLLE
Le 30.06.2016
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n°
2231