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vendredi 24 mai 2013

Corporelle


 
 
Corporelle

 

Nue,

Forme en mouvement,

Un parfum sur mes lèvres,

Un corps mesuré dans la nuit,

Doucement m’effleure les sens,

Corporelle.

 

Doucement son corps m’emportant,

Sous un bruit de satin rouge,

Une effigie de son corps aux reflets colorés,

Reflétant sur les murs de la chambre,

Corporelle.

 

Je ne suis plus moi ici,

M’envoutant d’avantage,

Mon corps devient captif d’une image,

Je suis perdu, seul avec elle dans cette chambre,

Corporelle.

 

Je sens un filet ce refermer sur moi,

L’amour ma pris dans les sens d’une femme,

Mes lèvres effleurées aux siennes,

Comme un enfant éperdu d’une image,

Corporelle.

 

Son corps se lissant sur ma peau,

Envoutant mon être à elle,

Je la prends comme une condamnée a moi,

Attachant ses liens à mon corps,

Corporelle.

 

Acheminant les mouvements serrés,

Les corps dévergondé de sens,

Je pénètre âprement son corps,

Un cri surgi menottant nos hardiesses pénétrantes,

Corporelle.

 

Les corps allongés,

Doucement ses lèvres aux repos sur les miennes,

Je caresse son corps endormi,

Un semblant de sommeil sur son visage, vibrent encore,

Corporelle.

NICOLLE Edmond le 25.05.2013

Créateur de poésies depuis 1973


 

 

Body

naked
Moving form,
Perfume on my lips,
A measured at night body
Gently touches my senses,
Body.

His body gently taking me
Under a noise red satin
An effigy of her body with colorful reflections
Reflecting on the walls of the room,
Body.

I am no longer myself here
Bewitching me more,
My body becomes captive of an image,
I'm lost, alone with her in the room,
Body.

I feel a thread that close on me,
Love took me in the direction of a woman,
Touched my lips to hers,
As a wild child of an image,
Body.

His body preening on my skin,
My captivating be it,
I take it as a doomed to me,
Attaching ties to my body,
Body.

Routing tight movements
The wanton body sense
I penetrate his body fiercely,
A cry arose penetrating handcuffing our boldness,
Body.

The elongated body,
Gently to rest his lips on mine,
I stroked her sleeping body
A semblance of sleep on his face, still vibrate,
Body.
NICOLLE Edmond 25.05.2013
Creator of poetry since 1973
http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.fr/

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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