Une femme de l’ombre
Essuie ses larmes à
l’amour,
Coucher sur un lit
d’une histoire,
Vagabonde des nuits
de solitudes,
Une femme de l’ombre,
Caressent son
habillage du soir,
L’habillage de la
mort.
Un silence qui n’est
pas un,
Habitable de
résonances,
Une chambre vide de
lumières,
Une femme de l’ombre,
Caressent son
habillage du soir,
L’habillage de la
mort.
De rideaux pâlis
d’absence,
Une femme bannie
d’ombres,
Blancheur écarlate
sur le visage,
Une femme de l’ombre,
Caressent son
habillage du soir,
L’habillage de la
mort.
Une rose défraîchi de
mains d’hommes,
Des blessures sur un
cœur d’avoir trop aimé,
Sur un lit défroissé
de souvenirs,
Une femme de l’ombre,
Caressent son
habillage du soir,
L’habillage de la
mort.
Dans le silence
outragent des sons,
Une femme pleurs des
absents,
Derrière le rideau,
leur passage,
Une femme de l’ombre,
Caressent son
habillage du soir,
L’habillage de la
mort.
Une rose sur un lit,
Une femme absente,
De rideaux pâlis sans
plus de lumière,
Une femme de l’ombre,
Caressent son
habillage du soir,
L’habillage de la
mort.
NICOLLE Edmond le 13.11.2013
Créateur de poésies depuis 1973
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