Je dépose ma vie sur du papier
Transhumance en transhumance,
Je dépose mon sang à l’encre de Chine.
Remplissant le temps à écrire une vie,
Laissant une muse à la plume de mes doigts.
Des lettres sortant sans dire un mot,
Entre mes veines coulant des lignes,
Une solitude monopolisée de poésie,
Trouvant l’amour bucolique aux lignes.
Je ne peux refermer cette porte à des proses.
Un enchevêtrement de lettres se bousculant,
Une muse proscrivant une délibération de lettres,
Laissant mon âme à cette diligente de poésie.
Je ne peux comprendre ce texte.
Je m’absente de cette contradiction.
Mon corps appartenant à cette égérie,
Élu domicile à mes artères soudoyé.
NICOLLE Edmond le 25.09.2021
Auteur et créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 3026
I put my life on paper
Transhumance in transhumance,
I apply my blood in India ink.
Filling the time to write a life,
Leaving a muse at the quill of my fingers.
Letters coming out without saying a word,
Between my veins running lines,
A solitude monopolized by poetry,
Finding bucolic love in the lines.
I cannot close this door to prose.
A tangle of letters jostling each other,
A muse forbidding a deliberation of letters,
Leaving my soul to this diligent poetry.
I cannot understand this text.
I am absent from this contradiction.
My body belonging to this muse,
Taken home to my bribed arteries.
NICOLLE Edmond on 09.25.2021
Author and creator of poems since 1973
Text n ° 3026
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