Maman
Tant de choses
Tant d’images
Tant de mots échappés
Tant d’années se bousculent.
Raison ou déraison qui m’échappe.
Avril, je ne peux échapper
Tu es partie à la pâque.
Mon cœur s’est troublé.
Je te tenais pour survivre.
Ton cœur fatigué, épuiser.
Je suis resté seul avec toi.
Nos repas au réfectoire
Je t’assistais perdu de sens.
Tu m’encourageais par des mots
J’étais le survivant de ton histoire.
Combien de fois nous étions à écrire
Une poésie, une histoire, une échappatoire
Une âme de liberté sur une plume
Nous trouvions l’amour idyllique en page.
Une conseillère étant notre garante.
Je ne peux oublier avril.
Mon cœur étant à toi chaque jour
Maman, je sais que tu es en paix
Mes mots se troublent à cet instant.
Juste pour te dire, je t’aime.
Edmond NICOLLE Le 20.04.2020
Auteur et créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2847
Tant de choses
Tant d’images
Tant de mots échappés
Tant d’années se bousculent.
Raison ou déraison qui m’échappe.
Avril, je ne peux échapper
Tu es partie à la pâque.
Mon cœur s’est troublé.
Je te tenais pour survivre.
Ton cœur fatigué, épuiser.
Je suis resté seul avec toi.
Nos repas au réfectoire
Je t’assistais perdu de sens.
Tu m’encourageais par des mots
J’étais le survivant de ton histoire.
Combien de fois nous étions à écrire
Une poésie, une histoire, une échappatoire
Une âme de liberté sur une plume
Nous trouvions l’amour idyllique en page.
Une conseillère étant notre garante.
Je ne peux oublier avril.
Mon cœur étant à toi chaque jour
Maman, je sais que tu es en paix
Mes mots se troublent à cet instant.
Juste pour te dire, je t’aime.
Edmond NICOLLE Le 20.04.2020
Auteur et créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2847
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