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mardi 6 mars 2018

Dans tes yeux mon amour






(poésie du jour)


Dans tes yeux mon amour !


Je veux être celui qui surpasse la leçon,
Les moratoires des hommes injustifiés,
Chercher l’amour à mes dérives,
Dans mes bras des sentiments qui affluent.

Je frôle l’amour à mon corps,
Un diapason de mots qui me prennent,
Caressant mon corps à des prières,
Me livrer fou un instant sans vous.

J’imagine mon corps au vôtre,
Oublier de dormir à cette vieillesse,
Oublier la vie d’une histoire,
Rire et s’aimer comme jamais ont à aimé.

Je porte le silence de ma folie,
Vous désirez, me risquant de vous blesser,
Et pourtant vous aimer ainsi à toujours,
Vous ne serrez qu’une image à mon destin.

Il me reste votre voix, quelques mots,
La différence est notre âge,
Vous aimiez serais impossible à vos yeux,
Vous aimiez serais dépasser la raison.

Il me reste que mes lignes à une plume,
écrire et écrire jusqu’à ma mort,
Ma muse vous remplaçant à ma vie,
Une vie qui passe à mes lettres.

Laissez-moi à ma dérive,
Le manque de vous à ma vie,
Des sentiments que je ne peux vous dire,
Loin de vous mon histoire.

J’ai envie de mourir bien des fois,
Mourir, ne plus vous regarder,
Sentir votre parfum près de moi,
Effacer cette histoire qui me suit.

Amour adieu

Edmond NICOLLE
Le 6.03.2018
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2662



https://youtu.be/ekkPDzacUl4


(poetry of the day)


In your eyes, my love!


I want to be the one who surpasses the lesson,
Moratoriums of unjustified men,
Seeking love for my drifts,
In my arms feelings that flock.

I touch the love to my body,
A tuning fork of words that take me,
Stroking my body to prayers,
Deliver me crazy for a moment without you.

I imagine my body to yours,
Forgetting to sleep at this old age,
Forget the life of a story,
Laugh and love as never have loved.

I carry the silence of my madness,
You wish, risking you hurt,
And yet you love so forever,
You will only hold an image to my destiny.

I have your voice left, a few words,
The difference is our age,
You loved would be impossible to your eyes,
You liked to go beyond reason.

I still have my lines at a pen,
write and write until I die,
My muse replacing you in my life,
A life that passes to my letters.

Let me drift,
The lack of you in my life,
Feelings that I can not tell you,
Far from you my story.

I want to die many times,
To die, not to look at you,
Feel your scent near me,
Erase this story that follows me.

Farewell

Edmond NICOLLE
The 6.03.2018
Author is creator of poems since 1973
Text n ° 2662

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