(poésie du jour)
Dans tes yeux mon
amour !
Je veux être celui
qui surpasse la leçon,
Les moratoires des
hommes injustifiés,
Chercher l’amour à
mes dérives,
Dans mes bras des sentiments
qui affluent.
Je frôle l’amour à
mon corps,
Un diapason de mots
qui me prennent,
Caressant mon corps à
des prières,
Me livrer fou un
instant sans vous.
J’imagine mon corps
au vôtre,
Oublier de dormir à
cette vieillesse,
Oublier la vie d’une
histoire,
Rire et s’aimer comme
jamais ont à aimé.
Je porte le silence
de ma folie,
Vous désirez, me
risquant de vous blesser,
Et pourtant vous
aimer ainsi à toujours,
Vous ne serrez qu’une
image à mon destin.
Il me reste votre
voix, quelques mots,
La différence est
notre âge,
Vous aimiez serais
impossible à vos yeux,
Vous aimiez serais
dépasser la raison.
Il me reste que mes
lignes à une plume,
écrire et écrire
jusqu’à ma mort,
Ma muse vous
remplaçant à ma vie,
Une vie qui passe à
mes lettres.
Laissez-moi à ma
dérive,
Le manque de vous à
ma vie,
Des sentiments que je
ne peux vous dire,
Loin de vous mon
histoire.
J’ai envie de mourir
bien des fois,
Mourir, ne plus vous
regarder,
Sentir votre parfum
près de moi,
Effacer cette
histoire qui me suit.
Amour adieu
Edmond NICOLLE
Le 6.03.2018
Auteur est créateur de poésies
depuis 1973
Texte n° 2662
https://youtu.be/ekkPDzacUl4
(poetry of the day)
In your eyes, my love!
I want to be the one who surpasses the lesson,
Moratoriums of unjustified men,
Seeking love for my drifts,
In my arms feelings that flock.
I touch the love to my body,
A tuning fork of words that take me,
Stroking my body to prayers,
Deliver me crazy for a moment without you.
I imagine my body to yours,
Forgetting to sleep at this old age,
Forget the life of a story,
Laugh and love as never have loved.
I carry the silence of my madness,
You wish, risking you hurt,
And yet you love so forever,
You will only hold an image to my destiny.
I have your voice left, a few words,
The difference is our age,
You loved would be impossible to your eyes,
You liked to go beyond reason.
I still have my lines at a pen,
write and write until I die,
My muse replacing you in my life,
A life that passes to my letters.
Let me drift,
The lack of you in my life,
Feelings that I can not tell you,
Far from you my story.
I want to die many times,
To die, not to look at you,
Feel your scent near me,
Erase this story that follows me.
Farewell
Edmond NICOLLE
The 6.03.2018
Author is creator of poems since 1973
Text n ° 2662
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire