Le souffle d’un printemps
Le souffle d’un printemps,
Sur les chemins d’une vie,
Je cours récupérer le sens de mon souffle,
D’un hiver enfermer à mes jambes,
Une liberté de fuir mon ombre sur des chemins,
Le ciel m’étant ouvert à mes pas.
Je respire à la cadence du temps,
Mon souffle s’accroche le long d’un chemin,
Comme un oiseau qui s’élance de l’hiver,
Mes jambes suivent les sens uniformes du tracé,
Sur le calcul prédestiné de mon parcours,
Le corps lancé à son souffle du destin.
J’écris un instant avant de fuir mon destin,
Celui de me mettre à la place de l’autre,
Celui de mon corps en exercice,
Passer le cap des douleurs cumulées de l’hiver,
Atténuer le souffle par une force extérieure,
La tension est mon seul garant de mon corps.
Je cours,
Mes minutes sur les jambes,
Le cœur devançant mes exercices de marche,
Mon parcours de footing à mes jambes,
Ne pensent plus que lier ma marche à l’exil du temps,
Je cours mon destin à une fuite toujours à l’avant.
NICOLLE Edmond le 8.02.11
Le souffle d’un printemps,
Sur les chemins d’une vie,
Je cours récupérer le sens de mon souffle,
D’un hiver enfermer à mes jambes,
Une liberté de fuir mon ombre sur des chemins,
Le ciel m’étant ouvert à mes pas.
Je respire à la cadence du temps,
Mon souffle s’accroche le long d’un chemin,
Comme un oiseau qui s’élance de l’hiver,
Mes jambes suivent les sens uniformes du tracé,
Sur le calcul prédestiné de mon parcours,
Le corps lancé à son souffle du destin.
J’écris un instant avant de fuir mon destin,
Celui de me mettre à la place de l’autre,
Celui de mon corps en exercice,
Passer le cap des douleurs cumulées de l’hiver,
Atténuer le souffle par une force extérieure,
La tension est mon seul garant de mon corps.
Je cours,
Mes minutes sur les jambes,
Le cœur devançant mes exercices de marche,
Mon parcours de footing à mes jambes,
Ne pensent plus que lier ma marche à l’exil du temps,
Je cours mon destin à une fuite toujours à l’avant.
NICOLLE Edmond le 8.02.11
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