Poèmes aux travers du temps Edmond Nicolle Je vous écris pour la simple raison, Qu'il me reste du temps et des inspirations. À vouloir vous donner au travers de mes poèmes Et de ma plume, j’ai aimé écrire par amour de la vie Et le sens virtuel des mots. Edmond
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vendredi 18 février 2011
Fruits de la passion
Fruits de la passion
Fruits de la passion,
Je t’ai dessiné avec mes doigts,
Les courbes de tes fruits sur ton corps,
L’amour voluptueux de couleurs sur ta peau,
Je glisse mon regard sur la plume étalée à de couleurs,
Comme si déjà tu étais avec moi sur une coupe du diable.
Fruits de la passion,
Je voudrais que ce dessin ce termine ou plutôt pas,
Ce languir de l’amour du fruit sur nos lèvres,
La prestance d’un temps à mûrir à notre soif,
Je me garde d’une surveillance à mes doigts,
Qui déjà coule sur notre peau la virginité d’un nouvel amour.
Fruits de la passion,
Bientôt nous serons que d’un ciel soupirent,
Une élocution de mots entre nos lèvres,
D’un suc coulant sur notre corps le bain de nos passions,
Les couleurs sang de nos orgasmes frémissants du jus d’une coupe,
D’incessants mouvements d’aller et retour d’un cœur assoiffé d’orgasme.
Fruits de la passion,
Sur nos lèvres s’étale le fruit partagé des fruits de l’amour,
Nous reviendrons ensemble gouter cette soif à la coupe,
L’amour sur un lit de fruits cueillis d’une page,
Finir cette feuille de la passion entre nos mains,
L’amour.
NICOLLE Edmond le 19.02.11
http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.com/
Fruits de la passion
Fruits de la passion,
Je t’ai dessiné avec mes doigts,
Les courbes de tes fruits sur ton corps,
L’amour voluptueux de couleurs sur ta peau,
Je glisse mon regard sur la plume étalée à de couleurs,
Comme si déjà tu étais avec moi sur une coupe du diable.
Fruits de la passion,
Je voudrais que ce dessin ce termine ou plutôt pas,
Ce languir de l’amour du fruit sur nos lèvres,
La prestance d’un temps à mûrir à notre soif,
Je me garde d’une surveillance à mes doigts,
Qui déjà coule sur notre peau la virginité d’un nouvel amour.
Fruits de la passion,
Bientôt nous serons que d’un ciel soupirent,
Une élocution de mots entre nos lèvres,
D’un suc coulant sur notre corps le bain de nos passions,
Les couleurs sang de nos orgasmes frémissants du jus d’une coupe,
D’incessants mouvements d’aller et retour d’un cœur assoiffé d’orgasme.
Fruits de la passion,
Sur nos lèvres s’étale le fruit partagé des fruits de l’amour,
Nous reviendrons ensemble gouter cette soif à la coupe,
L’amour sur un lit de fruits cueillis d’une page,
Finir cette feuille de la passion entre nos mains,
L’amour.
NICOLLE Edmond le 19.02.11
http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.com
jeudi 17 février 2011
Pourquoi attendre la nuit
Pourquoi attendre la nuit ?
Pourquoi attendre la nuit ?
Pour s’aimer avant la dernière heure,
Le temps ne compte plus à nos âges,
Je voudrais te voir avant le coucher du soleil,
Nous baigner de tendres mots manquer,
Comme jamais je n’ai sus apprendre.
Pourquoi attendre la nuit ?
Pour s’aimer avant la dernière heure,
J’ai tant attendu dans la souffrance,
Ta voix restée bloquer dans mon passé,
De pages nulles à mon histoire,
Un enfant dans la dérision.
Pourquoi attendre la nuit ?
Pour s’aimer avant la dernière heure,
Une fois dans tes bras,
Peut-être une dernière fois,
Te dire je t’aime maman,
Serais-je savoir placer mes mots une fois encore.
Pourquoi attendre la nuit ?
Pour s’aimer avant la dernière heure,
J’ai besoin encore de me réchauffer avec toi,
Changer le temps de la nuit pour le jour,
Sur mon cœur seul sur des pas d’un enfant,
L’enfant que je voudrais voir disparaître en moi.
NICOLLE Edmond le 16.02.11
mercredi 16 février 2011
mardi 8 février 2011
Le souffle d'un printemps
Le souffle d’un printemps
Le souffle d’un printemps,
Sur les chemins d’une vie,
Je cours récupérer le sens de mon souffle,
D’un hiver enfermer à mes jambes,
Une liberté de fuir mon ombre sur des chemins,
Le ciel m’étant ouvert à mes pas.
Je respire à la cadence du temps,
Mon souffle s’accroche le long d’un chemin,
Comme un oiseau qui s’élance de l’hiver,
Mes jambes suivent les sens uniformes du tracé,
Sur le calcul prédestiné de mon parcours,
Le corps lancé à son souffle du destin.
J’écris un instant avant de fuir mon destin,
Celui de me mettre à la place de l’autre,
Celui de mon corps en exercice,
Passer le cap des douleurs cumulées de l’hiver,
Atténuer le souffle par une force extérieure,
La tension est mon seul garant de mon corps.
Je cours,
Mes minutes sur les jambes,
Le cœur devançant mes exercices de marche,
Mon parcours de footing à mes jambes,
Ne pensent plus que lier ma marche à l’exil du temps,
Je cours mon destin à une fuite toujours à l’avant.
NICOLLE Edmond le 8.02.11
Le souffle d’un printemps,
Sur les chemins d’une vie,
Je cours récupérer le sens de mon souffle,
D’un hiver enfermer à mes jambes,
Une liberté de fuir mon ombre sur des chemins,
Le ciel m’étant ouvert à mes pas.
Je respire à la cadence du temps,
Mon souffle s’accroche le long d’un chemin,
Comme un oiseau qui s’élance de l’hiver,
Mes jambes suivent les sens uniformes du tracé,
Sur le calcul prédestiné de mon parcours,
Le corps lancé à son souffle du destin.
J’écris un instant avant de fuir mon destin,
Celui de me mettre à la place de l’autre,
Celui de mon corps en exercice,
Passer le cap des douleurs cumulées de l’hiver,
Atténuer le souffle par une force extérieure,
La tension est mon seul garant de mon corps.
Je cours,
Mes minutes sur les jambes,
Le cœur devançant mes exercices de marche,
Mon parcours de footing à mes jambes,
Ne pensent plus que lier ma marche à l’exil du temps,
Je cours mon destin à une fuite toujours à l’avant.
NICOLLE Edmond le 8.02.11
vendredi 4 février 2011
Laisse-moi le temps de t'aimer encore
Laisse-moi le temps de t’aimer encore
Laisse-moi le temps de t’aimer encore,
Courir encore demain,
Sur mes jambes,
D’années passées avec toi,
Oh mon Dieu,
Laisse-moi encore t’aimer,
Le temps d’un souffle,
Le temps d’une vie,
Le temps de l’amour aux miens.
Laisse-moi le temps de t’aimer encore
J’ai encore des prières à te formuler,
Tout n’est pas dit encore,
Long est le chemin avant d’arriver vers toi,
Celui de marcher dans le silence des hommes,
Le regard à t’aimer aux hommes d’incertitudes,
Le temps d’un souffle,
Le temps d’une vie,
Le temps de l’amour aux miens.
Laisse-moi le temps de t’aimer encore,
Je cours sur les chemins d’un père,
Un enfant qui a encore besoin de lui,
Sur les lignes des prières,
Celui de dire je t’aime,
Celui de dire je t’aime à toi qui me lis,
Le temps d’un souffle,
Le temps d’une vie,
Le temps de l’amour aux miens.
NICOLLE Edmond le 4.02.11
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