Le silence
Passe le temps d’hier.
Des points souvent en fin de lignes,
Il fait silence en mon âme.
Balayer par le temps des hivers.
Je me couche en silence.
Le jour se lève et rien n’as changé.
De cris à peine inaudibles sur des lèvres,
Je suis là sans être là à vous.
Je regarde le ciel, moi sur un ailleurs.
Une musique qui déjà, c’est fait morte,
Je n’entends plus déjà vos mots.
Une ombre passante à mon corps.
Il me reste des lettres sur du papier.
Comme un temps qui déjà me fait face,
Un temps contradictoire à mon âge,
Des lettres à mon âme.
Je passe et me défais en silence.
Il n’y a rien qui me retient.
Déshabiller, je suis,
Une ombre qui passe au temps.
Passe le temps d’hier.
Des points souvent en fin de lignes,
Il fait silence en mon âme.
Balayer par le temps des hivers.
Je me couche en silence.
Le jour se lève et rien n’as changé.
De cris à peine inaudibles sur des lèvres,
Je suis là sans être là à vous.
Je regarde le ciel, moi sur un ailleurs.
Une musique qui déjà, c’est fait morte,
Je n’entends plus déjà vos mots.
Une ombre passante à mon corps.
Il me reste des lettres sur du papier.
Comme un temps qui déjà me fait face,
Un temps contradictoire à mon âge,
Des lettres à mon âme.
Je passe et me défais en silence.
Il n’y a rien qui me retient.
Déshabiller, je suis,
Une ombre qui passe au temps.
Edmond Nicolle
Le 22.03.2019
Auteur et créateur de poésies depuis 1973
Texte n°2756
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