Sur ce lit de soie m’a terre
Comme un frison du soir,
Je me noie sur un air de musique,
Une fraîcheur absorbante,
Je dormirais avec les étoiles,
Sur ce lit de soie m’a terre.
Je serais nu pour toi,
Ma belle aux vallons sinueux,
D’où je ne serais pas vainqueur,
Mes mots seront les échos de la nuit,
Sur ce lit de soie m’a terre.
Seul le bruit des arbres,
Chanterons aux feuilles complices,
Ma couche une terre devenue mon fruit,
Le soin d’une vertu d’un agrume mûre,
Sur ce lit de soie m’a terre.
Elle me prendra bien trop vite,
Sur ce lit ma tombe à demain,
Je veux chanter jusqu’aux étoiles,
Un respectable chant pour elle,
Sur ce lit de soie m’a terre.
Je ne me coucherais pas encore,
Jusqu’aux aurores mon souffle,
Celui de t’aimer à chanter,
Celui des refrains d’un ciel aux oiseaux,
Sur ce lit de soie m’a terre
Vient dansons ensemble la naïveté,
Celui d’aimer jusqu’aux derniers souffles,
L’amour de celle qui nous amènera dans son corps,
Les pieds nus chantés encore une fois,
Sur un lit de soie m’a terre.
Edmond NICOLLE le 30.06.11
http://edmondnicolle.wordpress.com/
Comme un frison du soir,
Je me noie sur un air de musique,
Une fraîcheur absorbante,
Je dormirais avec les étoiles,
Sur ce lit de soie m’a terre.
Je serais nu pour toi,
Ma belle aux vallons sinueux,
D’où je ne serais pas vainqueur,
Mes mots seront les échos de la nuit,
Sur ce lit de soie m’a terre.
Seul le bruit des arbres,
Chanterons aux feuilles complices,
Ma couche une terre devenue mon fruit,
Le soin d’une vertu d’un agrume mûre,
Sur ce lit de soie m’a terre.
Elle me prendra bien trop vite,
Sur ce lit ma tombe à demain,
Je veux chanter jusqu’aux étoiles,
Un respectable chant pour elle,
Sur ce lit de soie m’a terre.
Je ne me coucherais pas encore,
Jusqu’aux aurores mon souffle,
Celui de t’aimer à chanter,
Celui des refrains d’un ciel aux oiseaux,
Sur ce lit de soie m’a terre
Vient dansons ensemble la naïveté,
Celui d’aimer jusqu’aux derniers souffles,
L’amour de celle qui nous amènera dans son corps,
Les pieds nus chantés encore une fois,
Sur un lit de soie m’a terre.
Edmond NICOLLE le 30.06.11
http://edmondnicolle.wordpress.com/